Rien ne pourra justifier la prédominance d’un peuple sur un autre jusqu’à vouloir l’éliminer.

Rien ne justifiera qu’un homme puisse disposer de la vie ou de la mort sur ses semblables. Et pourtant en Europe aujourd’hui, en 2022, un homme croit pouvoir anéantir un pays, des enfants, des femmes, des hommes.

Seul un tyran, un despote, un dictateur peut oser faire subir de telles souffrances. On se croirait dans un mauvais film d’horreur. De bien mauvais souvenirs refont surface dans nos mémoires. De la peur légitime doit surgir la prédominance des démocraties sur les autocraties.

Des divergences légitimes encore et toujours animeront nos débats mais aujourd’hui face à un désarroi construit sur le sentiment d’être impuissant, obligent de subir l’inacceptable.

Organisons selon nos moyens la résistance.

Rien ne justifierait que tous les démocrates, les républicains, les humanistes ne se rassemblent pas autour d’un projet Européen, véritable moyen d’agir.

 Daniel Delassalle