Actualités

 

Mai 2022

 

Episode 1:

Ce qui reste , ceux qui se disent encore socialistes à la section socialiste d'Yzeure, sont ceux qu'on appelle maintenant "les tous tourneboulés" de la politique, ils n'ont plus de gyroscope .
Rappelons qu'un gyroscope permet de garder une direction constante sur un bateau par exemple .C'est très utile pour les marins  en pleine tempête ; ça devrait l'être en ce moment pour les pseudos socialistes .

Voila ce qu'ils écrivent: 

 

Cet espace ,ils considèrent qu'il doit être investi par une candidature socialiste pour la 1ère circonscription de l' Allier. Ainsi  le soutien est très clair et sans réserve aux candidats représentant les valeurs socialistes, à savoir Jean Mallot et Jackie Renaud .

(Texte intégral)

 

 II est surprenant de constater que l'on puisse se satisfaire du résultat des présidentielles :Que d' outrecuidance !Le résultat selon eux ne reflète pas le poids des élus  sur le terrain ? ce serait plutôt des poids plume . Faut -il être aveugle à ce point pour ne se rendre compte de rien?

Sur le plan politique :ils ont cherché le soutien de  la fédération du PS de l'Allier , la contrôler,  voulant à éliminer ceux qui contredisaient leur politique réactionnaire ,ne reversant pas une partie d'indemnités comme le prévoient les textes ,s'autodésignant se donnant eux mêmes les investitures d'abord pour les élections municipales ,ensuite départementales et régionales .Ils ont cherché le soutien de Pierre Jouvent secrétaire nationale du Ps qui a négocié le brillant accord avec LFI, EELV,PC ,Ps lui faisant écrire des lettres d'exclusion pour les militants qui dénonçaient leur attitude dont votre serviteur .

Comment osent-ils dire ça !

Un espace pour porter les valeurs socialistes, pour répondre aux attentes de l'électorat de gauche très ancré sur le territoire et qui attend une présence socialiste pour les représenter à l'Assemblée nationale .un espace pour défendre une politique de terrain et non d'appareil, basée sur un programme et non sur une répartition des sièges sans connaissance des spécificités locales.

On avait un poste à la Région ,ils ont laissé la place à un élu communiste en l' occurrence Monnet 

Ils ont ainsi négocié d' essayer conserver leur place au Département (exactement comme au niveau national ce qu'il dénonce sans aucune gêne  ) ce qui tourna au fiasco aussi bien pour les socialistes que pour les communistes  .Et là l'accord national prévoit d'abandonner la circonscription  .Il n' y aura plus de députés socialistes dans l' Allier .On avale la couleuvre d'une candidature socialiste à Vichy.

Jean Mallot décide d'être un candidat dissident dans cette première circonscription . Et la section d' Yzeure le soutient en opposition au PS national !

La section d' Yzeure s'est ainsi que la fédération du PS, , dynamitée .En ne respectant pas l'accord, le fameux Pierre Jouvent tenant à sa circonscription ,ils se sont tous exclus d' eux -même .Cette fois c'est la fin du PS à Yzeure et dans l'Allier . A Yzeure ,c'est la  fin finale de tous ceux qui se prétendent les adeptes d'une politique de terrains (ceux qu'ils vendent pour boucher les trous d' une gestion incontrôlée ,adeptes d'une démocratie participative sans participants) .Les élus Perrin ,Bourgeot ,Labonne , Lasmayous ,Renaud, Brisville ,Foucault ,Denis  et consorts....ne sont plus membres du PS à partir d' aujourd'hui ....la section n'existe plus le secrétaire doit démissionner ....Le conseil fédéral aussi .Les membres du conseil fédéral ne doivent plus prendre de décisions surtout à caractère financier ce qui risquerait d'engager leur responsabilité financière personnelle  .Ils se sont dynamités . Boum!

Suite dans l'épisode 2 que va -t-il se passer dans les groupes politiques du Conseil départemental de L'Allier et du Conseil municipal d' Yzeure nous vous le dirons ....bientôt .

  

Législatives Carole Delga, présidente de la Région Occitanie 

image de Creuse

« La direction du parti a bradé nos convictions contre 70 places de députés »  Carole Delga, présidente PS de la Région Occitanie n’a pas le profil des « éléphants » sacrifiés par le Parti socialiste. Fustigeant les politiques « girouettes », elle souhaite créer un « nouvel élan » au sein de la « gauche républicaine ». Cet article est en accès libre car pour nous, être bien informé est essentiel pour un vote raisonné.  Qu’est-ce qui vous pousse à y croire encore ? J’y crois car je fais de la politique pour améliorer la vie des gens. Et c’est ce que nous demandent les Français. L’union est nécessaire, bien entendu, mais une union sincère, autour d’un vrai projet. Si j’ai réussi à faire le meilleur score de France pour la gauche en 2021 dans ma région – avec face à moi une extrême droite forte que j’ai fait reculer – c’est en apportant des solutions concrètes, en essayant de redonner espoir face au sentiment de déclassement. C’est sur cette base, sur ce programme, que j’ai rassemblé les socialistes, les écologistes, les communistes, les radicaux de gauche et la société civile. La gauche républicaine unie, ça marche, quand le projet est clair, sincère, utile aux gens. Je désapprouve clairement l’accord qui a été conclu avec la France Insoumise car c’est une négation de nos valeurs. Les Français sont déboussolés par ces politiques qui agissent comme des girouettes. La cohérence pour moi est fondamentale. Quelles sont les prochaines étapes ? Je réunirai, sous 15 jours, les militants qui considèrent que cet accord est une liquidation du socialisme. Il faut se remettre au travail pour proposer un véritable projet alternatif. Après l’été, nous organiserons des Etats Généraux de la gauche qui s’ouvriront largement à tous ceux qui veulent reconstruire cette gauche républicaine, européenne et écologiste : militants de tous les partis, mais également les responsables associatifs, syndicaux et de mouvements de jeunesse, acteurs économiques, culturels, sportifs… Nous devons ouvrir toutes les portes et les fenêtres pour créer un nouvel élan. Quelles valeurs le Parti socialiste a-t-il sacrifiées, selon vous, dans cet accord avec la Nupes ? Notre attachement à l’Europe, à l’importance du couple franco-allemand, à la souveraineté des peuples, alors que nous devons à tout prix défendre l’Ukraine de l’oppression de Poutine, notre défense de la laïcité, notre souci de la sécurité républicaine, notre rapport à l’entreprise. Comment Olivier Faure peut-il écouter sans broncher, encore samedi, Jean-Luc Mélenchon attaquer les forces de police ou condamner les entrepreneurs ? Moi je suis de cette gauche qui veut une société apaisée. Je veux une République laïque où l’on a le droit de croire ou de ne pas croire. Je veux une France fière de son histoire et de son rôle moteur dans la construction européenne. Je veux un pays qui sache concilier économie et écologie, qui aime l’entreprise, parce que pour répartir les richesses avec justice, il faut d’abord les créer. Je veux un Etat de droit respecté, avec une police et une gendarmerie renforcées dans leur rôle de sécurité de proximité. Je veux que notre système de santé protège les Français, avec un hôpital public fort et des médecins dans tous les territoires. L’accord passé prépare des lendemains qui déchantent. En quoi unir les gauches n’était-il pas, pour vous, la seule manière de sauver le PS ? A quoi attribuez vous sa descente aux enfers progressive ? Soyons clairs, ce qui est proposé aujourd’hui, ce n’est pas une « union historique » de la gauche. Je le redis, c’est un accord électoraliste qui a deux objectifs : une répartition de sièges sous l’hégémonie de la France Insoumise qui n’est en rien un projet sérieux pour gouverner aux destinées de notre pays. Les désaccords sont trop profonds pour tenir sur le long terme. L’autre objectif est l’installation de Jean-Luc Mélenchon comme seul et unique opposant à Emmanuel Macron. Eh bien je tiens à le dire, je suis, nous sommes, une opposition à Emmanuel Macron. Cet accord part d’une analyse de courte vue. Le socialisme en France, ce n’est pas 1,75% des voix des Français. Les socialistes, avec leurs partenaires communistes, écologistes et radicaux, associés à des membres de la société civile, dirigent de nombreux Départements, les Villes de Nantes, Tours, Clermont-Ferrand, Montpellier, les Régions Centre Val de Loire, Bretagne, ou encore la mienne, l’Occitanie. La direction du parti a bradé nos convictions contre 70 places de députés sur 577, faisant fi d’une réalité incontournable : le socialisme municipal ou local reste très solidement implanté. On vous accuse de chercher votre heure de gloire et d’avoir des ambitions personnelles. Vous savez, je suis avant tout une femme lucide. 17 millions de Français n’ont pas choisi au second tour de la présidentielle. Ils ont voté blanc, nul ou se sont abstenus. C’est à eux que je pense en agissant aujourd’hui. Ce week-end, j’étais dans le Gard pour rencontrer des agriculteurs et des chefs d’entreprise. Là, une femme m’a dit : « on en a marre que les politiques ne parlent que d’eux-mêmes, de leur place, et pas de nous, de nos difficultés et de notre peur du déclassement. » Ce qui m’a menée en politique, c’est avant tout le sens du service public. J’y suis venue tard, j’ai dirigé des entreprises avant cela et j’ai aimé mon travail. Aujourd’hui, je mets toute mon énergie au service des 6 millions d’habitants d’Occitanie pour créer de l’emploi, avec un pacte de 50 mesures qui permettent le retour à l’emploi. En faisant la gratuité des manuels, des ordinateurs pour les lycéens et des transports scolaires pour tous les enfants. La rentrée la moins chère de France est en Occitanie, tout comme la gratuité des transports pour les jeunes, ou encore le recrutement de 200 médecins pour lutter contre les déserts médicaux. Mon ego importe peu. Ma seule ambition est d’améliorer la vie de mes concitoyens, et c’est déjà beaucoup. Risquez-vous d’être exclue du Parti socialiste ? Je suis profondément socialiste, je ne quitterai pas le PS. Si aujourd’hui des militants sont en colère, déçus, c’est à cause d’une décision injuste de la direction du PS. Elle a provoqué ces tensions, à elle de la régler. Moi, sur le terrain, je soutiendrai les militants engagés dans leur campagne contre la droite et l’extrême droite, avec sincérité, clarté et cohérence. Olivier Véran appelle les socialistes déçus à rejoindre la majorité présidentielle. Le projet libéral d’Emmanuel Macron n’est en rien un projet pour protéger et soutenir les Français : la retraite à 65 ans qui omet la pénibilité ou le RSA conditionné à 20 heures d’activité, pour moi, c’est non. Cazeneuve, Cambadélis, Hollande... sont les principaux frondeurs, comme si le Parti socialiste devait sacrifier ses vieux éléphants pour survivre. Mais votre profil détonne… C’est une force ? Je ne suis pas dans la fronde, mais dans la construction. Je suis d’une génération d’élus qui se tient à portée d’engueulade tous les jours, qui n’a pas peur d’aller au contact. Je ne suis pas calfeutrée dans mon bureau à prendre des décisions hors-sols. Voilà pourquoi je ne me reconnais ni dans le projet d’Emmanuel Macron, ni dans celui de Jean Luc Mélenchon. Leur vision du pays, leur façon de faire de la politique verticale et souvent brutale, ce n’est pas ce dont les Français ont besoin. Les Français ont besoin de retrouver de l’espoir. Un projet de gauche républicaine, européenne et écologiste. Un projet qui prône la gratuité des transports en commun et l’aide au verdissement des véhicules individuels, qui place l’éducation en son cœur pour lutter contre les déterminismes grâce à l’escalier de la réussite. Un projet qui crée des emplois grâce à la transition écologique, en investissant dans les énergies renouvelables et l’habitat durable. Un projet qui garantisse l’accès aux soins pour tous et partout. Qu’on habite près d’Orléans, Clermont-Ferrand, Aurillac, Chartres, Toulouse ou de Montpellier, dans les villes, dans les banlieues ou dans les campagnes, je veux que les Français se sentent soutenus, accompagnés. Qu’il sache que la main est tendue pour soutenir leurs aspirations ou les aider dans leurs difficultés. Le Tarn, où est né Jean Jaurès, n’a pas de candidat PS, selon l’accord, ce qui symboliquement peut marquer les esprits. L’Occitanie est-elle en passe de faire sécession face aux injustices ressenties par certains candidats PS exclus de l’accord et décidés à se présenter quand même ? Il ne s’agit pas de faire sécession, mais d’agir selon nos convictions et notre ancrage territorial. Nous mettrons, en Occitanie comme partout en France, toute nos forces dans la bataille des législatives pour créer une opposition forte à Emmanuel Macron. Et là où il y a un risque de basculement au Rassemblement national, je serai fidèle à mes engagements, nous serons unis pour gagner. Mon combat est là, contre l’extrême droite. En Occitanie, je les ai fait reculer de 10 points entre 2015 et 2021, en montrant leur vrai visage et en apportant des solutions concrètes aux habitants, adaptées à chaque territoire. Le RN a voté contre toutes les mesures de pouvoir d’achat que j’ai portées… Il faut le dénoncer. Tout en donnant un nouvel espoir et en proposant un projet de changement de société qui redonne envie de voter à gauche.

Propos recueilli par Florence Chedotal

Les grands mystères de la petite politique politicienne:

PA Périssol a renoncé à  être candidat aux  élections législatives .Il nous dit qu'il ne voulait pas être candidat mais que les Républicains ,à l'initiative de Wauquiez  lui avait accordé l'investiture sans qu'il la demande . C'était magnifique ! 

Renoncer au rêve d'une vie, à l'ambition d'une existence, au moment précis où l'on touche au but, il n'est que ceux à qui pareille déception arrive pour savoir ce qu'il en coûte.

 

 Premier mystère:

Pourquoi n' avait-il pas tout de suite dit non?

Deuxième mystère :

N'est ce pas lié aux mauvais résultats de V.Pécresse , en particulier sur Moulins  malgré la lettre de soutien de PA Périssol et qui n'a pas eu plus d' effet qu'un emplâtre sur une jambe de bois!

Troisième mystère:

Il a voulu sans doute éviter qu'une défaite se transforme en déroute! Choix cornélien

En plus une fois de plus selon la Montagne  ,il n'a pas pu résister à la pression de ses amis les maires des communes rurales qui lui ont demandé de rester à la tête de la communauté d' agglomération (vous savez ceux à qui il ne donne rien ou pas grand chose et qui disent merci ) après 22 ans de règne pourtant .

Quatrième mystère :

Pourquoi pouvait-il partir il y a quelques semaines et rester par ce qu'on lui demande  aujourd'hui ?

De la bérézina lors des présidentielles :" Il y a des choses à retenir de cette bérézina électorale :le peuple veut des actes et non plus des promesses" a -t-il pensé ! 

Cinquième mystère :

Verrons nous le porte-parole de élus de gauche à la Com d'agglo J. Labonne, adjoint au Maire d'Yzeure remercier PA Périssol d'un tel sacrifice : renoncer à un éventuel mandat national pour rester le  Président de la Com.d'agglo  qui les maintiendra dans leur postes indemnisés .Ouf!

Mystère optionnel:

Pour qui vont voter les élus socialistes de la majorité yzeurienne .Soutiennent-ils  J.Mallot candidat socialiste dont ils semblent faire la campagne qui restera sans doute candidat ou suivront-ils les consignes de la direction nationale suite à l'accord et voter pour Y.Monnet comme ils devraient le faire comme membres des instances locales . Choix cornélien .

Je leur rappelle qu'ils n'ont pas le droit de mettre deux bulletins différents dans l'urne. Il faut faire attention à ne pas faire n'importe quoi !

Les restes de la fédération du PS en sont tous tourneboulés .Choix cornéliens!

En résumé Corneille est partout dans cette agglo:

"A vaincre sans péril on triomphe sans gloire" Le Cid corneille

guy chambefort

 

 

La métamorphose bobos des Ozières.

 Sans doute, dans le cadre des accords du "chariot fantastique ", les élus qui se disent de gauche à Yzeure ont décidé de remplacer les activités nautiques qui existaient pour l'ensemble des Yzeuriens (salle ouverte aux ainés), aux enfants et ados du centre de loisirs, plan d'eau (baignade, plage, bateaux électriques à bas coûts, barques, voiliers) par la concession à un privé du domaine des Ozières, on nous présente en avant première les bateaux apéros bbb (sic) des Ozières.

On pourra constater que deux bateaux électriques vogueront sur le plan d'eau, appelés bateaux "apéro" aux tarifs étonnants de 110€, 130€, 150 € pour six personnes.

Quelle gloire pour une municipalité de gauche d'écarter les gens à faibles revenus, d'activités que l'adjoint d'Yzeure avait qualifié de sportives en conseil municipal (sic) d'ailleurs contestables sur le plan de l'éthique. 

Ces bateaux seront sans doute accessibles à "l'oligarchisette" d'opérette Yzeurienne et le décor rêvé pour des selfies. Et pendant ce temps les jeunes yzeuriens n'auront qu'à aller se baigner sur le site aménagé de Moulins au bord de l'Allier aux frais des contribuables de l'agglo.

Et pendant ce temps, certains chanteront cet air de l'Auberge du Cheval blanc :

Voguer au fil de l'eau
Il n'est rien de plus beau
Je vous emmènerai sur mon bateau

(ensemble)
Voguer au fil de l'eau
Il n'est rien de plus beau
Je vous emmènerai sur mon bateau

(choeurs)

(elle)
Gare à ne point dériver
Malheur est vite arrivé

Guy Chambefort