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Bernard Poignant nous fait part dans le Nouvel Observateur de ses réflexions 

 

 

Toujours en attente !

TRIBUNE. « Au cœur de la crise, construisons l’avenir »

Côté socialiste, pas mal de frondeurs du quinquennat de François Hollande dans la liste. J’imagine qu’ils se montrent modestes, le candidat se réclamant d’eux en 2017 n’ayant pas démontré une puissante capacité d’entraînement pour l’élection présidentielle. Ce texte a-t-il été délibéré et adopté par les instances du PS, Conseil national, bureau national, secrétariat national ? En tous cas, il devrait désormais être soumis à débat dans toutes les sections, car il pose quelques problèmes qui méritent examen. Même si c’est loin dans le temps politique, mais toujours présent dans notre mémoire, la discussion du programme commun, sa conclusion le 27 juin 1972, sa signature le 12 juillet 1972 à l’Hôtel Continental à Paris, ont été précédées de l’élaboration puis de l’adoption de leur propre programme par les adhérents du PS en avril 1972. Son titre : « Changer la vie ». François Mitterrand n’est pas allé les mains vides négocier avec Georges Marchais. Il s’agissait de préparer un programme de Gouvernement pour les élections législatives de mars 1973. Elles ne furent pas un succès, mais ce texte nourrira la présidentielle anticipée de 1974 et préparera la victoire de 1981.

Cette initiative intervient dans un contexte de crise sanitaire et déjà économique et sociale. Sur le plan politique, elle est à rapprocher de celle de Nicolas Hulot et des 200 signataires « people » de son texte « 100 principes pour un nouveau monde » que le Monde a publié en lui offrant 5 pages du journal. Du jamais vu à ma connaissance. Elle est prolongée par la tentative de son ami et complice Mathieu Orphelin de constituer un 9ème groupe parlementaire à l’Assemblée Nationale. La tribune de l’Obs est différente, signée par des acteurs politiques mais on sent poindre quelques ambitions du côté de Yannick Jadot, député européen, et d’Eric Piolle, maire de Grenoble. L’un et l’autre se voient en chantre d’une Gauche unie, reléguant PS, PC, PRG au rôle de supplétifs. Science-fiction ? Pronostic hasardeux ? Analyse tordue ? Mais comme aime le dire François Hollande : « Rien ne se passe jamais comme prévu ». C’est rassurant !

 

 

 

Comment renier sa propre action?

Le texte lui-même commence mal, puisqu’il parle de « l’impasse où nous ont conduites les politiques dominantes depuis quarante ans »! J’ai fait le calcul : ça nous ramène à 1981. Tout ce qu’ont fait François Mitterrand, Lionel Jospin, François Hollande... oubliés voire rejetés. « Du passé faisons table rase »... Ministres communistes, radicaux, écologistes compris. Comment certains ministres de Jospin et de Hollande ont-ils pu renier leur propre action? En réalité, ce n’est pas la première fois. Le 28 janvier 2019, Olivier Faure, dans le nouveau siège du PS à Ivry, avait qualifié le quinquennat de François Hollande de « trahison du socle de nos valeurs ». Quelques mois plus tard, c’est au tour de Raphaël Glucksmann, tête de la liste soutenue par le PS aux élections européennes, de qualifier, le 6 avril 2019, François Mitterrand de « complice du génocide du Rwanda ». Vingt-trois ministres écrivent à Olivier Faure pour lui demander de corriger cet insolent. Il bottera en touche. Bref, avec tout cela, nous voilà sans histoire !

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Ne pas déifier la nature

Enfin les institutions sont abordées. Il est suggéré de mettre le « Droit de la nature dans nos textes fondamentaux », en clair l’introduire dans notre Constitution. D’abord je ne mets pas l’Homme au même niveau que la Nature. Il ne faut pas déifier celle-ci. Déjà quand l’Homme se prend pour Dieu, il ne fait que des bêtises. Cette idée peut aller loin et mal tourner. Il ne faudrait pas que le Droit de la Nature allié au principe de précaution paralysent l’économie, le développement, l’innovation, la recherche. En matière constitutionnelle il y a un autre point. Il est décliné ainsi : l’échec de la Vème République, la refonte totale de nos institutions, le refus du « sauveur suprême ». En clair : il faut en finir avec l’élection du Président de la République au suffrage universel, l’élection qui mobilise le plus les électeurs ! Courage à celui ou celle qui, en 2022, se réclamerait de cette tribune : « Votez pour moi, mais c’est la dernière fois, car si je suis élu, je vous proposerai de supprimer cette élection. » Pas de risque : il ne sera pas élu.

Restent des points délicats qui ne sont pas abordés : rien sur l’énergie nucléaire, rien sur la défense nationale et la force de dissuasion stratégique nucléaire (les Verts veulent la supprimer), rien sur le communautarisme et l’islamisme radical, pas un mot sur la laïcité et le mot République même pas cité (comment le PS a-t-il pu laisser faire ça ?), rien sur la politique étrangère, peu sur la politique migratoire sauf (et c’est beaucoup) à prôner une régularisation générale des étrangers en situation irrégulière, sans même de critères. Admettons qu’on ne peut pas tout dire, mais une large tribune ne devrait pas laisser cela de côté. Est annoncée une « Convention du monde commun » (curieuse expression), où toutes les forces qui se retrouvent dans tout ou partie de ce texte se rencontreraient. C’est bien le moins. Il faut espérer qu’elle se tienne pour vérifier sur place, et sur pièce, les convergences réelles entre les signataires. Les Français doivent savoir si ce texte commun, ce monde commun peut déboucher sur un Gouvernement commun, avec une équipe commune et un « patron » qui assure et garantit la vie en commun.

Lire l' article complet paru dans le NOUVEL OBSERVATEUR

Bernard Poignant

 

Tribune locale : Au cœur de la crise locale  :comment renier sa propre action ?

Ce comportement des élus socialistes est devenu monnaie courante aussi bien au niveau national qu' au niveau local . Les nouveaux anciens élus  expliquent que les politiques menées depuis quarante ans ,par exemple  à Yzeure , comme au niveau national nous ont conduit dans une impasse : les politiques dominantes sont oubliées ,voir rejetées .On récupère, devant la perte d'influence  quelques communistes ,  occupés  à obtenir des places  mais  aussi enclins à critiquer ce qu'on fait leurs prédécesseurs .Tous ont déjà et  vont aussi reprendre en cœur " du passé faisons table rase". Tous  prétendus adeptes d'une défense de l'environnement qui consiste à laisser pousser  l'herbe sur les trottoirs ,moins adeptes du logement social on nous dit  qu'ils  vont se faire les chantres du "développement durable et de l'environnement."Nous ne comprenons pas comment peut-on, sinon pour " embrumer les naïfs " parler de développement durable . Si le développement n'est pas durable ,comment peut-on parler de développement ! Quant à l'environnement je garde un souvenir assez douloureux de notre premier voyage en Roumanie  à la fin du "règne "de  Ceausescu .Nous en reparlerons un jour .

Guy Chambefort 

 

 

 

 

 

 

Itinéraire 2 :

Nous sommes donc sur le Boulevard Saint-Exupéry.

A gauche 

 Si on se dirige vers le nord  .(La réalisation d'une piste cyclable le long du talus des Tennis serait simple a réaliser.) On arrive  rue de La  Baigneuse ,on peut la traverser pour  prendre le chemin ,longeant le défunt Golf pour suivre le chemin parfaitement tracé et cyclable qui conduit rue des Trois Pressoirs , puis emprunter la rue du Huit mai , puis la rue De Bellecroix pour arriver Place Jules Ferry .(Lycée Jean Monnet).

Si, au lieu de prendre le chemin de l'ancien golf, on tourne sur la droite rue de la Baigneuse ,on passe devant le collège François Villon pour arriver au parking des Jardins du Danube après avoir traversé la rue Bergeron -Vebret . On peut prendre    l'allée de Gherla longue piste rectiligne qui nous conduit boulevard Louis Guillot à hauteur du stade de Champ-Daillant  . Un autre chemin tout aussi carrossable  tracée sur la droite mais plus sinueux conduit au même point.

A droite

Si nous prenons le boulevard Saint Exupéry vers le sud, nous arrivons vers le centre commercial de Pouzeux , puis après avoir traversé et longé la rue des Cladets, nous arrivons à l'entrée du Château de Panloup, espace  qui nous ouvrira de nombreux itinéraires jusqu'aux limites de la ville .

Il est devenu de bon ton , de parler de circulations douces ,notamment dans les périodes électorales .Les circulations douces sont les pistes cyclables et les chemins piétonniers . Pour ma part  ,j'ai été surpris de constater que beaucoup de gens qui parlaient de ce sujet, ne devaient  pas être des utilisateurs assidus . Ils réclamaient des itinéraires qui pour la plupart existent déjà. En effet jusqu'en 2014, toutes les opérations d'urbanisme qui ont été réalisées sur Yzeure ont prévu ces chemins ou pistes .Mais souvent les gens qui réclament sont ceux qui ne voient les pistes cyclables que de leur voiture, donc celles qui longent les voies de circulation. 

Pourtant,c'est ce qu'il ne faut pas faire .Les pistes cyclables les plus sûres sont celles qui sont, en site propres, séparées de la circulation automobile .

Les pistes cyclables situées le long de le route de Lyon(ex N7)  ont défrayé la chronique pendant de nombreuses années  .De nombreux accidents graves ont eu lieu .C'est l'exemple même de ce qu'il ne faut pas faire . A un moment il avait même été envisagé de les supprimer .

Pourtant à Yzeure , une autre piste du même type a été aménagée à quelques jours des élections municipales, ( seule réalisation entre 2014 et 2020) , le long du boulevard Jean Moulin alors que la largeur des trottoirs permettaient d'en réaliser une en site propre . Même en lui donnant le nom de" Chaussidouce" , ce tracé est dangereux surtout s'il y a beaucoup de cyclistes sur l'itinéraire.

Plusieurs dizaines de km de pistes et de chemins avaient été réalisés jusqu'en 2014 . Par contre rien de nouveau n'a été fait à partir de 2014 .Nous avions indiqué en 2013 qu'il restait réaliser une interconnection  de tous ces itinéraires .C'est un objectif qui reste à atteindre.

Il y a un autre élément qu'il faut prendre en compte maintenant , c'est celui de la nécessité d' améliorer et de durcir le revêtement de certains tronçons de ces pistes pour les  rendre plus roulantes du fait de l'apparition du vélo électrique.Il faut aussi améliorer la signalétique des itinéraires.

Itinéraires  chemins et pistes

Tout au long d'articles nous vous les présenterons .

Itinéraire 1: De la Gare SNCF au collège François Villon , à la place Jules Ferry (Lycée Jean Monnet ) en pensant par le Château de Bellevue et le Stade de Bellevue .

                      Sortir de la Gare en empruntant la passerelle direction Yzeure, (les vélos peuvent  l'emprunter ) un marquage peinture devrait être fait le long du parking  pour arriver à l'une des quatre rue parallèles (voir plan) (par exemple la Rue Bernard Palissy) qui pourrait être réservée à une piste cyclable et à la desserte des riverains .Traverser le Boulevard Aristide Briand puis rejoindre le Parc de Bellevue .Deux itinéraires cyclables et un piéton existent  :

    La voie d'accès au Château et au parking (piste à baliser peinture ) Accès aux Services de l'Etat et du département .Maison du handicap .

Une autre voie d'accès piétonne existe à l'intérieur du Parc ( photo ci-dessous )

.Elle est pavée , roulante et éclairée et permet aux agents de l'Etat  travaillant dans les bâtiments le long de la Rue Aristide Briand d'accéder au restaurant administratif .

 

Une autre voie  joint le boulevard Aristide Briand  à la rue Jean Vidal en traversant le lotissement du Danube .

 

Pour sourire un peu au sujet de cette voie pavée qui donne relie les bâtiments administratifs rue Aristide Briand et le restaurant inter administratif:

Dans les années 90 je venais d'être élu maire . la  ville d'Yzeure souhaitait la réalisation d'un cheminement piétonnier entre la rue Jean Vidal et la rue Aristide Briand, pour desservir la gare à mi-chemin entre le Pont de Foulet et le Pont des Bataillots . .Ni le parking ,ni le restaurant n'existaient  à cette époque .Qu'avions nous à cet endroit ? Croyez -moi le Jardin du Préfet !Oui le préfet avait un jardin potager cultivé par un jardinier fonctionnaire qui produisait des légumes ...pour la Préfecture  En conseil municipal nous avions formulé le vœux de traverser (en limite !!!!) le jardin .Dès que la nouvelle arriva en Préfecture  j e fus immédiatement convoqué par le Secrétaire général de la Préfecture qui m'indiqua que cela ne se faisait pas d'amputer le Jardin du Préfet !On me rappela que cela faisait partir des avantages en nature du Préfet ! J'essayais de montrer , sans succès, l'intérêt de ce cheminement pour tous les gens ,notamment les fonctionnaires qui se rendaient à la gare . Je proposai de trouver une autre solution pour la  production légumière préfectorale . Nous avons trouvé une  avec P.Chauvat maire de Moulins qui aménageait à cette époque des jardins ouvriers à proximité du Centre pénitentiaire. Ce fut compliqué .Nous agacions .Un changement de Préfet fit avancer le dossier et peu de temps après le nouveau préfet  renonça au jardin aux légumes ,aux conserves. La République en fut un peu retournée mais pas affamée !!!!!

L'emplacement du jardin permit  d'ailleurs de construire, quelque années plus tard , le Restaurant Administratif  !!!!!!!

 

Nous nous retrouvons donc rue Jean  Vidal , puis par la piste - chemin située au pied du talus du stade annexe de Bellevue nous rejoignons le Boulevard  Saint-Exupéry . On arrive ainsi à la rentrée élèves du collège F.Villon .Nous avions eu une bonne idée, je pense de créer ce chemin lors de la création du stade annexe.

On peut aussi le rejoindre  aussi en sortant du Château et en rejoignons  pourrait le rejoindre en suivant la Rue de La Baigneuse .

 

De la rue Jean Vidal à la rue de la Baigneuse ….

Du Boulevard Saint - Exupéry , trois directions sont  possibles : vers la Place J Ferry et le Lycée J. Monnet , vers l'entrée du Collège et l'entrée des jardins du Danube et sur la droite un aménagement cycliste pour rejoindre Panloup pourrait être réalisé .

Boulevard Saint -Exupéry

Mais là ce sont trois autres itinéraires que nous vous présenterons plus tard !!!!!!!!

Pendant les 53 jours du confinement regards03 vous a proposé un article chaque jour ...

Nous avions imaginé après ces 53 jours quelques changements ...notamment avoir retrouvé, au moins en projet, une église Saint -Pierre d'Yzeure, à nouveau éclairée .

Mais non, par contre regards03 s'est laissé dire  que 400 000 euros  pourraient être dépensés par la Communauté d'agglomération pour transformer les monuments en écran de télévision !Ceci serait fait  par une entreprise qui n' a rien de locale avec en plus  le risque lié aux contraintes sanitaires. Utilisons une telle somme  pour éclairer de façon pérenne les monuments des communes de la com d'agglo .

Mais bon la formule écrite au bas de la carte-photo  par un ancien curé d'Yzeure  et adressée à un ancien maire d'Yzeure , est parfaitement adaptée à cette sortie de confinement .

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