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Cette fois ils perdent la boule.

En feuilletant "facebook" nous découvrons qu'un éminent Président du groupe socialiste et républicain du Conseil Départemental, qui s'est fait élire sous l'étiquette divers gauche, nous annonce qu'il apporte son soutien à la liste conduite par F. Kott. Très bien.

Ensuite il nous indique que d'autres élus socialistes apportent leur soutien.Très bien aussi.

Remontons un peu le temps : 

A Montluçon, F. Kott présente une liste de gauche. Mathieu Bogros sollicite l'investiture de la fédération de l'Allier après avoir été désigné par une seizaine de militants. Le même jour Pascal Perrin maire d'Yzeure, désigné par une quatorzaine de militants sollicite lui aussi l'investiture pour les municipales. Guillaume Devaux annonce qu'il présente une liste de Gauche à Yzeure. Avec l'accord du conseil fédéral où siégeaient notamment Jean Mallot, Jean Michel Guerre …. Perrin et Bogros sont désignés et simultanément demandent avec tous leurs appuis au Conseil Fédéral les exclusions de Frédéric Kott et Guillaume Devaux qu'ils obtiennent au niveau national par l'intermédiaire de Mathieu Bogros.

Frédéric Kott et Guillaume Devaux sont exclus. Et aujourd'hui nous apprenons que ces adeptes de l'exclusion soutiennent quelqu'un qu'ils ont réussi à faire exclure ! Nous sommes au pays d'UBU ! Ubu symbole de l'absurdité du pouvoir. Nous y sommes.

Mais tous ces soutiens n'ont oublié qu'une seule chose qu'ils devraient pourtant connaitre : Tout militant qui soutient un candidat exclu s'exclut automatiquement du parti. Certains vont avoir quelques soucis pour les échéances futures. Pour paraphraser un film célèbre "L'arroseur arrosé " nous assistons à la projection des "exclueurs" exclus. Et que pense de tout cela le premier secrétaire fédéral ?

Apporte-t-il son soutien à celui qu'il a exclu ?

Nb: il est bien évident j'apporte mon soutien à la liste de Frédéric Kott ! Le Conseil fédéral du PS de l'Allier a enfin un prétexte pour me faire exclure ! "rires".

Si vous n'avez rien compris ce n'est pas grave.

Guy Chambefort

J'aurais pu écrire : ce matin j'ai découvert  "avec surprise" dans ma boite aux lettres le magazine "Ensemble" de la Communauté d'agglomération de Moulins. Mais non, il n'y a plus de surprise. Le Maire de Moulins et Président de la Communauté d'Agglomération candidat aux élections municipales de Moulins fait diffuser un document daté d'avril juin 2020 présentant un bilan à lui de son action et des projets à moins de 20 jours des élections, financé par les contribuables de La Communauté d'Agglomération. Cela ne se fait pas mais c'est habituel à Moulins. J'espère que ses concurrents feront un recours contre cette distribution. La plupart des dates indiquées dans le magazine sont complètement dépassées. Il n'y avait aucune raison de le diffuser aujourd'hui. Il aurait pu attendre le deuxième tour.

Mais ce qui est véritablement inadmissible, c'est que ce document est un document uniquement consacré à la gloire de sa politique, Moulins. Moulins c'est toute la communauté n'est-ce pas ? Elus des autres communes, réagissez ! Alors que Moulins a une population équivalente à Yzeure et Avermes, inférieure si on ajoute Toulon, que constatons-nous ? Comptez si vous ne me croyez pas ! Vous serez pardonné si vous ne le croyez pas.

Alors qu'Yzeure est cité 5 fois !  Avermes 4 ! Toulon 1 ... Pour les autres communes c'est encore pire.

Participez à notre jeu concours :

Combien de fois est cité le nom de Moulins dans le Magazine : 10 fois, 20 fois, 50 fois,100 fois,  150 fois, plus de 220 fois ! Devinez !

Eh oui, la réponse est méprisante pour les autres communes de l'Agglo : plus de 220 fois !  Et encore j'en ai sans doute oublié, la lecture était tellement fastidieuse. 

Nous espérons que les autres candidats prendront une position complètement différente s'ils sont élus.

C'est avec de telles attitudes que l'on provoquera un rejet de l'intercommunalité dans l'avenir !

Ne parlons pas bien sûr du contenu. Les produits phytosanitaires ont disparu dans l'agrofourniture (au détour d'une phrase on parle de matières sensibles : vous ne trouvez pas cela curieux) dans le nouveau bâtiment du pôle logistique, où on nous reparle des rails alors qu'on y a renoncé, on revient sur la cérémonie des vœux parfaitement d'actualité en ce mois de juin mais sans doute le lieu d'un discours fondateur, les grues Potain ne sont plus fabriquées à Avermes mais à Moulins. Quant au magazine culturel, il fait abstraction des spectacles des autres communes (on cite un spectacle pour répondre à des critique éventuelles) …..et bien d'autres choses !Tout est de la même veine.

 Réjouissons nous pour conclure, avec Casimir Delavigne :

"Tout pouvoir excessif meurt de son excès même".

A méditer

Guy Chambefort

Voilà ce qu'à déclaré  le gouvernement:

Voilà ce qui devrait être déclaré par tout élu, par tout fonctionnaire d'état, par tout magistrat :

France : " tolérance zéro" du racisme dans la fonction publique, promettent-ils ?

Mais que se passe-t-il : j'en vois qui baisse les yeux !

guy chambefort

Le racisme en mille images

Elena de la Souchère

Editions du Pont-Royal, Paris, 1967.

 

Le racisme en mille images
 
 

Quelque part dans les Antimémoires, Malraux expose comment il projetait de bouleverser les méthodes d’enseignement en substituant l’image au discours. En tout cas, il n’y a peut-être pas de façon plus saisissante – au sens fort – de retracer l’histoire du racisme qu’en la montrant. A vrai dire, si l’image frappe, épouvante, si elle est le plus immédiat et décisif des révélateurs, si par elle la réalité saute aux yeux, prend à la gorge, laissant les mots loin derrière elle, elle ne se passe tout de même pas du commentaire. Ayant vu – et par quelle vision ! – on veut savoir : ou ? quand ? pourquoi ? Aussi le titre de Mme Elena de la Souchère est-il à la fois vrai et trop modeste. « Le racisme en mille images », sans doute. Mais ce film fascinant et horrible, il ne saurait se passer de sous-titres.

Et il s’agit, ici, de bien autre chose que de sous-titres : un texte qui occupe à peu près autant d’espace que l’image, et en caractères serrés dans des pages de grand format : bref, un livre. Je croirais volontiers non pas que l’auteur a commenté le film dont elle a dû choisir les images, mais que le film a été composé sur ce texte qui pourrait se suffire à lui-même. (Cursif, concis, dédaigneux de l’écriture, je ne lui reprocherai non certes la spontanéité familière dans l’émotion et l’indignation, mais un ton parfois trop lâché ; plus de rigueur entraînerait plus de force). Il reste qu’il colle étroitement aux images, et c’est là son originalité. A l’intérieur de chaque chapitre, les divisions sont marquées non par des mots mais par des chiffres : les numéros d’une suite d’images, et, au cours du développement, le lecteur est renvoyé, par le numéro entre parenthèses, à chacune de ces images. La lecture inverse est d’ailleurs possible, et on y recourra fréquemment : on déroule le film en se reportant, par le moyen de ces repères chiffrés, au paragraphe qui le commente.

A mesure qu’on feuillette l’ouvrage, on s’aperçoit ou on est confirmé dans ce qu’on croyait savoir : que l’histoire du racisme se confond avec l’Histoire tout court. Tout court est façon de parler, car c’est l’histoire même de l’humanité que Mme de la Souchère esquisse à travers l’affreuse aventure de la persécution et de la haine raciales. Elle prend cette histoire on ne peut plus tôt : dès la Genèse, où se manifestent, presque en même temps, l’origine commune de l’espèce humaine et sa division dans les trois grandes races, dont l’une opprimera et exploitera les deux autres, non sans que celles-ci se prennent à haïr et mépriser la première par des mouvements qui n’ont pas pour unique moteur cette oppression et cette exploitation.

L’historien a une autre raison de remontrer si haut : cette histoire des commencements, elle a été vécue et écrite par le peuple élu pour souffrir, et pour souffrir précisément la haine raciale la plus extraordinairement acharnée et constante qui ait jamais été nourrie par les hommes. Plus d’un lecteur découvrira peut-être cette partie, peu enseignée, de l’Histoire qui est celle de la persécution romaine et de la longue, héroïque résistance juive à Rome (ce qui n’est pas sans expliquer le christianisme) ; en compensation, pour l’honneur de l’humanité, point de haine ni de racisme chez les Grecs.

Avec l’Islam prend naissance un racisme religieux à double détente (on perd parfois de vue à quel point il fut réciproque), dont les Juifs seront doublement victimes. Puis l’histoire se détournera quelque peu d’Israël pour se fixer, avec la conquête du Nouveau Monde, sur un racisme de couleur qui est encore d’essence religieuse, bien que la religion soit déjà un beau manteau pour couvrir la rapacité. De toute façon, le fait économique, s’il n’exclut ni le fanatisme ni les réflexes viscéraux, bien au contraire, sera désormais le mobile profond du racisme : viennent donc les interminables chapitres de l’esclavage, de la colonisation, du colonialisme. Cependant, il devait être donné au XIXe siècle de couronner ces millénaires de haine raciale : de ce qui avait été, jusque-là produit par l’instinct, la peur, la superstition, l’intérêt, on fait soudain une doctrine et une pseudo-science. L’antisémitisme connaît alors une brusque virulence : pogroms russes, affaire Dreyfus, pour déboucher enfin sur le nazisme qui occupe, avec le racisme noir américain, tout le dernier tiers du livre. Implicitement ou explicitement, ce livre témoigne sur ce que racisme est le fruit naturel des régimes archaïques, réactionnaires et fascistes. Ce qui est vrai. Mais s’en tenir à cette vérité, n’est-ce pas se montrer, si l’on ose dire, trop optimiste ? Eliminer ces régimes, n’est-ce pas espérer s’en tirer à trop bon compte ? Les pogroms, invention typique de la Russie tsariste, sont ici éloquemment illustrés. L’objectivité, comme la mise en garde, n’exigeaient-elles pas fût-ce une seule image du racisme, voire de certaines formes d’un colonialisme soviétique ? De même, toute cette histoire est un réquisitoire écrasant contre l’homme blanc. Chacune de ces images dénonce, à travers les siècles des siècles, le racisme comme péché mortel de l’homme blanc. Mais n ést-ce point parce que, pour son malheur – et sa puissance et sa triste prospérité – il a été mis, et lui seul, en état de pécher ?

L’humanité puisse-t-elle être gardée des pécheurs de toute couleur ! Du reste, la plupart de ces mille images rappellent que c’est à l’intérieur de la race blanche que le racisme s’est le plus fréquemment et atrocement exercé. Et l’on ne peut guère douter qu’il n’infecte l’humanité tout entière. La couleur, les traits ethniques ne sont guère que des prétextes et des alibis pour assouvir la haine que l’homme porte l’homme. Qui oserait croire que si le nez de tous les hommes avait eu même forme et même longueur la face du monde eût été changée ? Elle ne peut l’être que par la conscience et la raison, exprimées dans la dernière image : la photographie de l’assemblée générale des Nations unies où fut proclamée la résolution sur, d’égalité universelle.

Ce n’est, du reste, – il faut le rappeler non pour le scepticisme mais pour la patience – que le principe même, et presque dans les mêmes termes, qu’avait proclamé la Révolution française.

Yves Florenne


6 juin 1944 Hôtel de ville Saint-Etienne

"Les sanglots longs des violons de l’automne." Sur la côte les résistants reçoivent le message de l'imminence du débarquement. Pendant ce temps là la ville de Saint-Étienne panse ses plaies. Les Stéphanois sont encore sous le choc du bombardement du 26 mai et le Maréchal Pétain vient pour remonter le moral des victimes avec notamment une visite du quartier Saint-François très touché.

Visite écourtée

Les archives officielles évoquent une foule dense. Dans les faits, il y a beaucoup moins de ferveur que pour la visite de Pétain en 41. Des écoliers des miliciens font nombre sur la place de l'hôtel de ville et puis surtout le maréchal écourte sa visite. Pas d'entrevue avec les blessés de l'hôpital Bellevue. Il dira simplement : "mes chers amis, des opérations militaires viennent d'être déclenchés sur le territoire. Vous comprenez pourquoi je dois quitter plus vite votre ville".

La veille Pétain était à Lyon

5 juin 1944, le Maréchal Pétain arrive à Lyon sous haute escorte, après une visite à l’hôtel de ville, il se rend à l’hôpital de Grange Blanche au chevet des malades et blessés. L’après-midi, il retourne place des Terreaux où les derniers fidèles se pressent pour le célébrer. La propagande parle alors de 20 000 personnes, même si ce chiffre est au final très éloigné de la vérité. Quelques Lyonnais sont présents, mais ils sont bien moins nombreux qu'en 1940. L'après-midi, Pétain se dirige vers Vaise pour constater les dégâts engendrés par le bombardement des alliés du 26 mai 1944. Le Maréchal prend la pose pour les photographes et tente de profiter de la situation pour retourner l’opinion.

Le débarquement

Pétain termine son voyage lyonnais au château du Tourvéon, à Collonges, où il passe la nuit. À son réveil, il est directement informé du débarquement en Normandie. Selon la légende, rapportée par Henri Amoretti dans son livre Lyon Capitale 1940-1944, le Maréchal serait alors rentré dans une rage folle et aurait renvoyé les écoliers venus lui chanter la MarseillaisePierre Laval le presse de rentrer rapidement à Vichy, mais Pétain refuse et part comme prévu à Saint-Étienne. Là, il est acclamé depuis le balcon de l’hôtel de ville.

Le 6 juin, dans l'après-midi, Pétain lance son appel au "peuple français" lui demandant de ne pas se mêler aux combats, "n'aggravez pas nos malheurs" et "d’observer une discipline rigoureuse". Il est trop tard pour les collaborateurs, la liberté est en marche.

 Ainsi la visite à Saint-Etienne correspondant au jour du débarquement marque le débutde la déstabilisation du Régime . Laval ne voulait pas que Pétain maintienne son voyage à Lyon et Saint -Etienne. L'histoire raconte que le matin à Lyon ,Pétain, apprenant le débarquement , se mit dans une grande colère. Des enfants,avaient été prévus pour chanter La Marseillaise à son réveil .Ils les renvoya sans ménagement . C'était le début de la fin .

 

De Saint- Etienne à Sigmaringen….pour finir l'histoire

Bernard Frank avait bien résumé les choses : «Vichy, c'était grotesque, ça ne pouvait finir qu'à Sigmaringen, dans la cucuterie la plus totale.» En effet. De septembre 1944 à fin avril 1945, Hitler ayant réquisitionné la résidence des Hohenzollern pour y loger la crème de la collaboration hexagonale, Vichy n'en finit pas de finir sous les tourelles pointues de Sigmaringen.

Ils sont tous là, ou presque, à révéler la vraie nature de leur régime, en jouant les prolongations pendant que l'histoire les dépasse à toute allure, que Drieu avale du gardénal à Paris et que les tribunaux de la Libération font exécuter Brasillach. Coincés dans la même souricière, à s'éviter, s'espionner, se haïr: Pétain, vieillard déchu qui souffre de la prostate dans son «Olympe» du 7e étage ; Laval, qui crame ses réserves de Lucky Strike en préparant son procès, du cyanure dans la doublure de son manteau ; Brinon, qui rêve d'être calife à la place du Maréchal tandis que Doriot lorgne la place à 25 kilomètres de là.

Mais encore Darnand, dans son uniforme de la Waffen SS ; Déat, qui s'obstine à signer des arrêtés ministériels ; Bonnard, qu'on traite en douce de «gestapette» ; Rebatet, qui pérore sur cette «communauté réduite aux caquets» ; et Céline, naturellement, Céline qui transformera bientôt ce «pittoresque séjour» en opérette infernale dans «D'un château l'autre». Sigmaringen, c'est «Secret Story» sur les bords du Danube. 

Guy Chambefort

 

 

 

 

Dans l'histoire de notre pays, il est des personnages qui ont laissé des ouvrages importants (dans ce cas ponts et lignes de chemin de fer) mais qui n'ont pas forcément eu la reconnaissance qu'ils méritent. C'est le cas de Paul Séjourné. Ainsi si vous voulez passer vos vacances en France, partez à la recherche des ouvrages magnifiques construits par Paul Séjourné dans des régions superbes. Vous en trouverez la liste sur Wikipédia. Nous vous en montrons quelques uns en découvrant aussi notre région.

 

Paul Séjourné

 

Il est né le  à Orléans1, fils de Jean-Aimé-Eugène Séjourné, professeur de mathématiques, et de Françoise-Eulalie Bignon.

Diplômé de l'École polytechnique en 1873 et de l’École nationale des ponts et chaussées en 1876, il est nommé Ingénieur des ponts et chaussées à Mende en 1877, puis à Toulouse en 1890. Dans ces deux postes il est chargé de la supervision de plusieurs lignes de chemin de fer en projet ou en construction. Ses méthodes innovantes le font remarquer. En 1886, il est décoré de l'Ordre national de la Légion d'honneur avec ce motif : « a conçu et construit, sur diverses lignes de chemin de fer, des ponts à grande ouverture dignes d'être cités comme modèles (...) »2.

Il se met en congé de 1890 à 1893 pour travailler pour la Compagnie Fives-Lille en Espagne. En 1896, il quitte l’administration et entre à la compagnie du PLM comme ingénieur en chef à Dijon, ce qui ne l'empêche pas de procéder à d'autres travaux importants, comme la construction du célèbre pont Adolphe à Luxembourg. Il devient chef du service des constructions du Paris-Lyon-Méditérranée en 1909 et dirige dans ce cadre a construction du Tunnel du Mont d'Or. En 1916, Lyautey lui confie la direction des lignes de chemins de fer au Maroc. Il est nommé sous-directeur de la compagnie Paris-Lyon-Méditérranée en 1919, et quittera la compagnie en 1927, à l'âge de 76 ans, avec le titre de directeur honoraire.

De 1901 à 1922 il est chargé du cours de ponts en maçonnerie à l'ENPC. Il publie entre 1913 et 1916 les six volumes de son ouvrage Grandes voûtes, traité qui rassemble toutes les connaissances sur les ponts en maçonnerie. En 1924 il est élu membre de l’Académie des Sciences, qui lui avait décerné en 1918 le prix Caméré3. En 1926, il est promu grand officier de la Légion d'honneur.

Paul Séjourné est enterré au Cimetière de Montmartre, à Paris. Un buste de Paul Séjourné se trouve dans le hall principal de l’École nationale des Ponts et Chaussées, rue des Saints-Pères,

 

Cette biographie est extraite de Wikipédia 

Le viaduc de Recoumène 

Situé près du Monastier sur Gazeille, le viaduc de Recoumène créé par Paul Séjourné pour la ligne Transcévenole fut terminé en 1925 mais ne vit jamais aucun train. Construit en basalte cet ouvrage de 8 arches en courbe culminant à 70m est une merveille technologique par sa légèreté.

 

 

Ouvrages d’art  selon Wikipédia 

Paul Séjourné participe aux ouvrages d’art suivants en tant que :

Concepteur[modifier | modifier le code]

 
Le pont Antoinette (dit « pont de l'Aiguillou ») sur l'Agout à Sémalens.

Ingénieur[modifier | modifier le code]

Ingénieur en chef[modifier | modifier le code]

 Ligne Bort les Orgues Neussargues

Guy Chambefort