Actualités

 Des voitures réservées

Un peu d'humour

La municipalité d'Yzeure est aux petits soins pour ses agents ...voilà ce qu'elle leur réserve  

Quelle chance d'avoir cet espace réservé ! On envisage des petits trains de conteneurs pour déplacer le personnel  avec voitures réservées!

Nos lecteurs

Pus de 325 lecteurs en 48  heures pour notre article "Une nouvelle page d'actualité dans votre boîte aux lettres "qu'il faudra ajouter aux 4000 imprimés distribués à Yzeure . Notons que ne sont pas décomptés les lecteurs lisant directement sur facebook .

 

Un peu d'histoire d' Yzeure

La destinée tragique des Bergeron d' Yzeure

 

BERGERON Joseph

 

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est né le 17 février 1899 à Sancoins (18). Son père Henri est journalier et sa mère  Marie-Emilie née PHELOUZAT est ménagère. Ils sont domiciliés rue Denfert-Rochereau à Sancoins.

II exerce le métier de domestique agricole, puis de manœuvre avant d'être incorporé le 15 mars 1920. Il est affecté au 109ème Régiment d'Infanterie et participe à l'occupation des Pays Rhénans du 10 mai 1921 au 15 septembre 1921. Il est "renvoyé dans ses foyers" le 20 avril 1922.

Le 29 septembre 1923 il épouse  Gilberte PAULAT à Sancoins.

Il est classé en affectation spéciale le 1er juillet 1929 au titre de la Compagnie P.L.M.  en qualité d'homme d'équipe.

Il travaille aux Chemins de Fer comme  wagonnier à la gare de Moulins (03) et est syndiqué à la CGT. Il est domicilié route de Montbeugny  à Yzeure (03).

Il est arrêté le 4 septembre 1942 à son domicile à Yzeure à la suite de distribution de tracts et sur dénonciation pour son appartenance à la Résistance-Fer. Selon l'attestation d'Emmanuel MOSNAT, responsable du détachement des cheminots FTPF de Moulins, Joseph BERGERON a  "participé à la rédaction, au transport, à la diffusion de tracts et journaux antiallemands, au collage nocturne d'affiches appelant les Français à résister, a facilité l'évasion de prisonniers de guerre et de patriotes traqués par les Allemands en leur faisant franchir la Ligne de Démarcation de janvier 1941 jusqu'au jour de son arrestation motivée par ces faits".

 

Selon le fichier de BRINON, il est arrêté pour "détention de tracts communistes".

Source du document ci-dessus: Division des Archives des Victimes des Conflits Contemporains AC 21 P 424 197 et GR 16 P 49928.

Note: Fernand de BRINON né le 26 août 1885 à Libourne (33), ambassadeur de l'Etat Français auprès des Allemands à Paris, collaborateur exécuté le 15 avril 1947 à Montrouge (92).


Joseph BERGERON est interné à la Mal-Coiffée, prison militaire allemande à Moulins (03), avant d'être transféré dans un premier temps le 21 septembre  à la prison de Dijon où il va rester environ 3 semaines, puis au Frontstalag 122, c'est-à-dire Compiègne où il reçoit le matricule N° 6468.

 

Le 24 janvier 1943 il est déporté de Compiègne   à Sachsenhausen  où il arrive le 25 dans le convoi N° I.74.

 

KL Sachsenhausen : camp de concentration près d’Oranienbourg. Il est à la fois centre de formation pour les S.S., mais également le lieu de préparation d’opérations secrètes comme la préparation de Gleiwitz contre la Pologne qui sert de prétexte de déclenchement de la Seconde Guerre Mondiale. On peut estimer qu’environ 200 000 hommes et femmes dont plus de 8500 Français ont été déportés à Sachsenhausen. Ce camp est libéré par l’Armée Rouge le 22 avril 1945.
Source : Livre mémorial de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation.
Il s’agit d’un convoi de 1466 hommes en majorité communistes.

Il y reçoit le matricule N°57854 et est affecté au Block 38.

Le14 juillet 1944  il est transféré de Sachsenhausen à Dachau où il arrive le 17 juillet. Un autre matricule lui est attribué, le N° 80214.

Mémorial annuaire des Français de Dachau

Source du document: Mémorial annuaire des Français de Dachau.

Il est affecté au Block 25 et  décède  le 2 février 1945  à 7 H 20 au Block 15  de l'Infirmerie de Dachau selon l'acte de décès ci-dessous.

Source du document ci-dessus: Division des Archives des Victimes des Conflits Contemporains.


Il décède le 2 février 1945 à Dachau selon l'état civil de Sancoins et le JO N° 180 du 6 août 1987.

Son nom figure sur la liste des Morts à Dachau.

 Source du document ci-dessus: Service International de Recherche d'Arolsen 1.1.6.1/9929584.

Il est homologué en tant que Résistant avec le grade fictif d'adjudant au titre de la R.I.F. (Résistance Intérieure Française) et des D.I.R. ( Déportés et Internés de la Résistance) le 15 novembre 1950.

"Mort pour la France" 
mention transcrite à la mairie d'Yzeure le 25 juillet 1946.

La carte de Déporté Résistant N° 1.011.13515 lui est attribuée à titre posthume sur décision du Ministère des Anciens Combattants et Victimes de Guerre en date du 19 novembre 1952.

Source du document ci-dessus: Direction Interdépartementale des Anciens Combattants de Clermont-Ferrand.

"Mort en déportation" suite à l'arrêté du Secrétariat d'Etat aux Anciens Combattants en date du 9 juin 1987 paru au Journal Officiel du 6 août 1987.


Son nom figure sur la plaque à la gare SNCF à Moulins Quai N° 1.
   

Photos: AFMD de l'Allier.

 

Note de l'AFMD:

Son fils Roger, né le 1er juillet 1924 à Sancoins (18), membre des Francs-Tireurs et Partisans Français, est tué avec son beau-frère Jean VEBRET lors de la bataille pour la libération d'Yzeure route de Montbeugny le 5 septembre 1944.

Source de la photo: Archives d'Hubert Joannin.

 

Sources :

- Archives Départementales de l’Allier 1864 W 1,

- Archives Départementales du Cher 2 R 766

- Archives du camp de Dachau sur Ancestry.com et JewishGen.org

- Direction Interdépartementale des Anciens Combattants de Clermont-Ferrand

- Division des Archives des Victimes des Conflits Contemporains  AC 21P 424197 et GR 16P 49928

- Etat civil de Sancoins (18) et d'Yzeure (03)

- Etat des déportés ayant appartenu à l'Union Locale CGT-Moulins avant 1939 transmis par Jean-Noël Dutheil

- Livre mémorial de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation Editions Tirésias 2004

Mémorial annuaire des Français de Dachau Amicale des Anciens de Dachau 1987

MemorialGenWeb  site Internet

- Service Historique de la Défense GR 16 P 49931

- Service International de Recherche d'Arolsen 1.1.6.1/9929582, 1.1.6.1/9929584

 © AFMD De l’Allier

regards03 a trouvé dans sa boîte aux lettres" Le premier actu des élus de la liste" Redonnons des couleurs à Yzeure "                                    le voici : Pour une gauche humaniste ,sociale ,écologiste .

 

EDITORIAL :

"Je ne connaissais pas  le gobbledygook "nous avoue un  fidèle lecteur, nous lui pardonnons volontiers. Le charabia administratif est en fait révélateur de l'impuissance de l'équipe municipale en place à Yzeure. Ce lecteur nous cite  Boileau qui  disait que" ce qui  se  conçoit bien s'énonce clairement ".  Il nous indique "Retournons le principe et nous comprenons que lorsque rien n'est conçu politiquement ,on a du mal à  le réaliser."

Il ajoute: "Alors  pour faire croire que c'est complexe on leur fait utiliser  des mots que personne ne comprend. Plus grave encore est la cause réelle de cette situation on navigue au hasard ,sans ligne directrice" .Les élus déambulent disent -ils ! C'est parfaitement approprié .

Les bonshommes verts parsemant les "chaucidous" illustrent parfaitement cette incohérence directionnelle   

"Plus fort encore, les élus adoptent à leur tour ce langage pour faire croire à leur compétence soudaine .Ces mots ne sont pourtant que des oripeaux endossés comme des tenues de camouflage de leur manque de compétence .Ils attendent, ainsi déguisés que les évidences technocratiques leur servent de bonnes raisons pour renier l'idéal politique de gauche qui les a mené au pouvoir .Voilà où les a conduit le charabia technocratique ,loin d'être magique il est toxique "

Un autre lecteur nous  précise que le gobbledygook à Moulins n'est pas aussi  compliqué .Il n'y a pas besoin de périssologie (voir le dictionnaire !) car il est basé sur un postulat .Pas besoin de gobbledygook ou de jibber - jabber si vous préférez .Ce postulat est " les projets de la communauté sont pour Moulins mais tous  les contribuables de la communauté payent". Et tout le monde cautionne dans un silence de cathédrale au moment de la quête .

Guy Chambefort

Ce dernier mot m'invite à vous rappeler les paroles de cette chanson de Jacques Brel qui avec des mots simples et une clarté d'écriture  vous fera oublier tout ce charabia technocratique .Un peu de poésie...

Paroles
Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Brûler d'une possible fièvre
Partir où personne ne part
Aimer jusqu'à la déchirure
Aimer, même trop, même mal
Tenter, sans force et sans armure
D'atteindre l'inaccessible étoile
Telle est ma quête
Suivre l'étoile
Peu m'importent mes chances
Peu m'importe le temps
Ou ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l'or d'un mot d'amour
Je ne sais si je serai ce héros
Mais mon cœur serait tranquille
Et les villes s'éclabousseraient de bleu
Parce qu'un malheureux
Brûle encore, bien qu'ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s'en écarteler
Pour atteindre l'inaccessible étoile
Source : Musixmatch
 
Paroles de La Quête © Helena Music Company, Helena Music Corp., Andrew Scott Inc
Un peu de couleur

 

Guy Chambefort

 

 Extrait du rapport d'orientation budgétaire 2021 Yzeure

Sur un extrait du ROB 2021 nous pouvons voir ce qu' est le "gobbledygook" ou charabia technocratique !

Nous allons  commenter le tableau  ci dessus  pour éclaircir pour le lecteur !

Un bon technocrate veut toujours moderniser . Un bon technocrate ne simplifie pas ,il modernise donc  il complique !

J'ai pu voir que l'on avait rétabli dans les services municipaux les cachets (pas les lettres) multipliant les besoins de signature pour que le trieur, non équipé de roulettes, avance à un rythme toujours très lent .Cela était très répandue en Roumanie dans les années 90 lors de notre premier  voyage à Gherla après le départ de Ceausescu .

Il suffit d'écrire:

Faire vivre cette ville

Les  bons technocrates formés au rythme des préfectures ne pense qu'à maîtriser les dépenses (comme ils disent ils aiment gratter .....cela doit remonter à l'époque où ils grattaient du papier avec un grattoir pour ne pas user la gomme ! .....alors qu'il faut au contraire faire preuve d'imagination pour que de nouvelles activités apportent de nouvelles recettes . Si les recettes sont en baisse ,c'est parce que les citoyens ne sont pas satisfaits de ce que on leur propose :

IL suffit d'écrire :

Des services attractifs avec les  recettes  correspondantes 

Optimiser les recettes :" avoir une action proactive pour mobiliser des recettes supplémentaires subventions d'équipement et autres recettes "

Que de lourdeur technocratique !

Mener une réflexion  sur les tarifs des services municipaux .Pour un fonctionnaire qui veut optimiser les recettes c'est augmenter les tarifs

Il suffit d'écrire :

Rechercher le plus de subventions possibles

(c'est ce que font les maires depuis les subventions existent) les pauvres ils ne savaient pas qu'ils étaient proactifs !

Faire une analyse prospective de la politique des ressources humaines par une gestion prévisionnelle des emplois et compétences !

Il suffit d'écrire 

Avoir des agents sur chaque poste , prévoir leur carrière ,et assurer la continuité et le progrès  du service

Mise en place d'une comptabilité  analytique ...pourquoi ne pas l'avoir  fait depuis 7 ans si c'est indispensable dans certains secteurs ! Mais dans d'autres ce serait catastrophique en lourdeur 

Repenser l'équipement en moyens d'intervention et  engins de chantier ! 

Il suffit d'écrire :

Il y a mieux que les binettes pour désherber

Verdir les voitures ça fait écolo .On verdit tout à Yzeure en surface  même les petits bonshommes dans les carrefours . iI fut aussi penser que les voitures des services dans la plupart des cas dans une ville roulent très peu  . Ne reparlons pas d'une réduction d'un point gagnée sur l'absentéisme ;Pourquoi un point  ridicule ? Pourquoi pas deux !Qui dit mieux trois !

Il suffit d'écrire :

Des agents bien dans leur travail se sentant un des éléments considérés du service public s'absenteront moins !

Evaluer la politique d'achats et la rendre plus efficiente !

Que de verbiage !

Il suffit d'écrire

Acheter intelligemment dans l'intérêt de la collectivité

Concluons  même si on ne vous a pas tout dit et tout commenté

Lisez ce qui est en bleu : Pour progresser c'est ce qu'il faut faire, il faut le dire dit en toute simplicité 

On nous dit que l'on veut rendre l'administration plus efficace dans son fonctionnement et sur la plan  organisationnel . C'est donc qu'un bon sextennat n' a pas suffit pour le faire  .Les outils ne sont pas bien utilisés  .Le problème est que l'on sait démonter mais que l'on a du mal à remonter .  Ce n'est pas de la faute de l'outil ,il faut changer le manipulateur .

Lamartine "il est plus facile de détruire que de construire"

Guy Chambefort

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Maria Chambefort

Maria Chambefort
Biographie
Naissance Voir et modifier les données sur Wikidata
MâconVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès Voir et modifier les données sur Wikidata
RoanneVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Jeanne-Marie PerraudVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
Période d'activité
Marie Chambefort dite Maria, née le 8 janvier 1840 à Mâcon et décédée à Roanne le 1er mai 1893, est une des premières femmes photographes daguerréotypistes françaises.

 

Famille

Elle est le premier enfant du couple Jean-Louis Chambefort et Jeanne Marie Perraud, mariés le 1er juin 1837 à Mâcon. Jean-Louis Chambefort, né à Retournac le 29 mai 1806, est entrepreneur en terrassements au moment de son mariage. Jeanne Marie Perraud née à Mâcon le 15 octobre 1818 est lingère. Le jeune couple vit 3 rue de la Paroisse à Mâcon dans une maison appartenant à Marie Lavenir veuve Perraud, mère de Jeanne Marie Perraud épouse Chambefort. Le 14 novembre 1850, un deuxième enfant naît 3 rue de la Paroisse à Mâcon, un fils, François Chambefort (1850-1925).

Jeanne Marie Perraud, épouse Chambefort, décède à Roanne le 23 janvier 1875.

Le 20 juillet 1874 Maria Chambefort épouse un négociant Jacques Léon Chanteloube à Roanne. Le couple Chanteloube– Chambefort aura trois filles : Delphine, Léontine et Marie Louise. Jacques Léon Chanteloube décède à Roanne le 27 septembre 1885.

Marie Chambefort dite Maria, veuve Chanteloube décède à Roanne le 1er mai 1893.

Les effets du couple sont dispersés par une vente aux enchères qui a lieu à Roanne le 11 juin 1893.

François Chambefort, son frère, meurt lui à Roanne le 5 mai 1925, 10 rue Alsace-Lorraine dans la maison construite par sa sœur et son beau-frère.

Formation et carrière

Maria Chambefort aurait été formée à Lyon par François Perraud, son oncle, daguerréotypiste chez qui elle habite en 1856. Ernest Besson, photographe lyonnais, est également employé par François Perraud à la même époque.

Après sa formation, Maria Chambefort commence sa carrière à Mâcon, sa ville natale.

Il est vraisemblable que Maria Chambefort s’installe à Roanne comme photographe fin 1858. En effet, le 10 mars 1859, un encart publié dans le journal L’Écho roannais indique que « Melle Maria Chambefort, connue depuis trois mois à Roanne pour la grande perfection des portraits et groupes de famille qu’elle y a faits, se fait un devoir de prévenir le public que son départ de Roanne, motivé par des affaires de famille, est fixé fin mars prochain ».

Son établissement est alors installé 32 rue Impériale, maison Petit. Il est transféré au n°9 de la même rue, maison Roux en mars 1859, puis, au n°1, maison Villemin en octobre 1859. En 1861, Maria Chambefort loge au n°9 de la rue Impériale avec sa mère Jeanne Marie Perraud, épouse Chambefort, et son jeune frère François.

En 1865, l’atelier déménage à grand renfort de publicité : « Melle Maria Chambefort, photographe, ayant voulu se mettre autant qu’il a été en son pouvoir, à la hauteur de la confiance que le public lui a accordée depuis qu’elle habite Roanne, a créé un nouvel établissement de photographie digne de sa clientèle choisie. Il est situé Place d’Armes, angle de la rue Sainte Elisabeth, à Roanne. On y trouvera un salon d’attente, un cabinet de toilette, et enfin un outillage complet, neuf et de dernier perfectionnement disposé dans une vaste terrasse vitrée jouissant d’un jour exceptionnel, permettant d’opérer à toute heure à l’abri de l’inclémence du temps, et cela en quelques secondes ».

Dans les publicités qu’elle diffuse, elle se présente comme : « artiste photographe, élève des premiers praticiens de Paris et de Lyon, connue depuis deux ans dans le département de Saône et Loire par l'incontestable perfection et la fidèle ressemblance du grand nombre de portraits et de groupes de familles qu'elle y a fait… Les nouveaux perfectionnements apportés à l'exécution de son travail offrent maintenant tous les avantages que l'on désirait depuis si longtemps, c'est à dire le modelé et le coloris de la miniature et de l'aquarelle unis à la vérité si exacte de la photographie, ce que la peinture ne pouvait obtenir que très rarement, et encore à des prix élevés... ».

Egalement dans ses publicités, on apprend qu'elle propose de réaliser des portraits, mais également de photographier des oeuvres d'art, des rues d'habitation ou encore de produire de nouvelles épreuves de daguerréotypes pour les agrandir, les retoucher ou les réduire afin d'en faire des médaillons. Elle se déplace à domicile, notamment en cas de portraits après décès.