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 Quand l'Observatoire observe !

 L'Observatoire poursuit aujourd'hui l'examen du Rapport d'Orientation Budgétaire 2021. Rappelons que les chiffres même provisoires de 2020 n'ont pas été communiqués lors de la présentation du ROB. Cette situation n'a pas été communiquée aux conseillers municipaux d'Yzeure ce qui est pour le moins surprenant. Nous reviendrons sur nos commentaires lorsque ces chiffres seront connus. 

 La plus grosse erreur de gestion de ce dernier mandat se voit sur le tableau ci dessous : Dépenses d'équipement par rapport à la population !

 

 

Ainsi les dépenses d'équipements, entre 2014 et 2019, ont été réduites de 100 euros par an et par habitant, ce qui est énorme. Cela représente pour la ville une diminution de ces  dépenses de 1 300 000 euros par an. L'équipe actuelle reconnait (page 28 ROB ) la baisse constante de ce ratio depuis 2014. Ceci au nom d'une diminution excessive  de la dette. C'est une erreur de gestion grave qu'il faudra expliquer aux Yzeuriens.

Les équipes précédentes avaient réduit la dette à partir de 2001 tout en maintenant à un niveau élevé les dépenses d'équipement particulièrement de 2008 à 2013. La construction de la cuisine centrale avait un peu augmenté la dette mais le remboursement était parfaitement maîtrisé avec une progression constante du nombre de repas préparés jusqu'en 2013. Ainsi l'équipe municipale actuelle a négligé l'entretien des bâtiments communaux, le renouvellement des véhicules par exemple...Si vous n'entretenez pas votre maison pendant 6 ans elle va se dégrader et après cela vous coûtera plus cher.

 

On peut même penser que l'absence de projets a amplifié cette réduction des investissements. On nous dit que tout cela était fait pour réduire la dette sujet sur lequel nous reviendrons. Les chiffres de dette sont, d'ailleurs artificiellement minorés en confiant l'achat des terrains du Parc de Sainte Catherine à la SEAU qui a emprunté pour la ville et la création d'un budget annexe pour la Gendarmerie.

 Un seul exemple : l'observatoire réclamera un audit des travaux dans les écoles. Et encore nous n'avons pas tous les éléments de 2020, un seul exemple :

Ainsi avant les élections, on avait inscrit 120 000 euros pour des travaux dans les écoles, crédit que l'on a supprimé, dans une décision modificative, après les élections faute sans doute de projets. Les électeurs ont été trompés. Que l'on nous parle pas de la Covid, les projets auraient du être prêts en 2019.

Et maintenant on nous parle d'emprunter plus ! On parle de 1 500 000 euros en 2021 ! Cette technique d'emprunter en dents de scie n'est pas la bonne.

Il est savoureux de constater que les élus actuels reviennent à la politique financière du Maire précédent qu'ils avaient approuvé jusqu'en 2013, puis critiquée vigoureusement entre 2014 et 2020. Nous pourrions chanter en chœur cet air de Rigoletto de Verdi aux paroles un peu modifiées mais si peu :

La gestion est inconstante 

Comme plume au vent

Elle change de propos

 Et de pensées

Et de pensées

 

Conclusion :

Et pendant ce temps l'herbe pousse sur les trottoirs et la balayeuse a du mal à balayer !

Guy Chambefort

 

 

 

Face à la dictature de la 5G, créons l’alternative

  

Communiqué de la coordination des espaces de La France insoumise.

Le déploiement massif de la 5G résume à sa manière les valeurs et méthodes du gouvernement Macron : une technologie anti-démocratique, anti-écologique, néolibérale, à l’utilité sociale et économique chancelante, pariant sur la création de nouveaux besoins qui s’ignorent et la marchandisation des données personnelles. Il est urgent de redonner le pouvoir au peuple : un moratoire doit laisser le temps à un débat citoyen sur l’utilité de la 5G pour notre société à l’heure de la crise écologique. Un droit à l’alternative doit garantir que le progrès ne passe pas par un numérique imposé à tous.

La 5G, un projet anti-démocratique

Au mépris des 150 citoyen·nes de la Convention citoyenne sur le climat qui demandaient « un moratoire sur la mise en place de la 5G en attendant les résultats de l’évaluation de la 5G sur la santé et le climat », le gouvernement passe une nouvelle fois en force. En lançant les enchères 5G dès le 29 septembre, il se conforme aux desiderata de la Commission européenne exprimés dans la directive 2018/1972 et satisfait aux intérêts d’une caste industrielle et financière, incompatibles avec notre contrat social. Le Gouvernement tente de faire croire que l’avis des autorités sanitaires sera respecté. Mais comment revenir en arrière quand les opérateurs devront débourser plus de deux milliards d’euros pour l’achat des premières fréquences ? Pourtant les citoyen·nes s’inquiètent légitimement de l’impact sur leur santé des ondes émises par cette nouvelle technologie. Ils ne seront pas plus rassurés de voir que le gouvernement ne rend pas public le premier rapport attendu sur le sujet, celui de l’Inspection générale des affaires sociales.

La 5G, un projet anti-écologique

Le secteur numérique constituera 7 à 8 % des émissions de Gaz à effet de serre (GES) d’ici 2025 et 46 milliards d’objets connectés d’ici 2030. Suivant certaines prévisions, la 5G elle-même devrait générer 6 à 13 millions de nouvelles antennes, entre 900 millions et 3,3 milliards de nouveaux smartphones sur le marché. Cette surenchère technologique représente un coût environnemental non-vivable pour des usages grand public non essentiels.
Le renouvellement massif des équipements et la production d’objets connectés généreront encore davantage de déchets électroniques demain et consommeront davantage de terres rares qu’aujourd’hui, avec toutes les questions humanitaires et environnementales que cela implique.

En cas de déploiement massif, le prix environnemental à payer ne sera pas compensé par la moindre consommation énergétique des équipements 5G. On nous annonce une multiplication par 100, voire 1 000 du trafic de données, la possibilité de connecter beaucoup plus d’appareils. La technologie va créer le besoin et l’effet rebond sera inévitable, comme il s’observe déjà en Corée du Sud : la consommation finale de données et d’énergie augmentera. Les investissements consentis par les acteurs du secteur vont enclencher une logique d’usages sans contrôle, en commençant par les plus superficiels…

La 5G, un projet libéral opposé à notre souveraineté

… Ou les plus dangereux : la 5G est vue comme permettant de multiplier les capteurs, d’automatiser les processus, de développer la « ville intelligente ». Cette numérisation à marche forcée va conduire à une augmentation de la collecte de nos données personnelles renforçant le capitalisme de surveillance et de revente de nos informations par les GAFAM et les sociétés de courtage de données.

Or, engoncés dans leur dogme libéral, l’Union européenne comme ses états-membres sont incapables d’assurer le contrôle de leurs infrastructures. Avec respectivement 28 % et 10 % du marché européen des équipements télécoms dominés par Huawei et ZTE (2019) et 51 % du marché mondial des cœurs de réseaux contrôlé par Cisco (2019), l’Europe s’enferme dans une armature technologique chinoise et américaine contrevenant à sa souveraineté. L’Union européenne, de même que les états-membres, donnent une réponse en demi-teinte aux relations opaques de Huawei avec le pouvoir chinois. Est-il souhaitable de favoriser la collecte massive des données personnelles des Européens dans un écosystème contrôlé par les GAFAM américaines alors que le Cloud Act donne aux États-Unis un pouvoir d’investigation extraterritorial ?

La 5G, un projet à l’utilité sociale et économique chancelante

Est-ce que la 5G serait au moins une opportunité économique solide comme on veut bien nous le dire ? En plus de l’achat des licences et des antennes, elle aura un coût de fonctionnement plus élevé que les générations précédentes (complexité et augmentation probable de la consommation énergétique globale des réseaux). Les opérateurs ne manquent pas de rappeler leurs difficultés financières et d’appeler les fonds publics à sponsoriser les déploiements pour soutenir leur rentabilité. La Chine injecte plus de 19 millions d’euros pour la couverture de Shenzhen seulement.

On nous vend bien sûr des créations d’emploi. Mais la privatisation du secteur et la concurrence exacerbée entre les acteurs rendent cette promesse illusoire. En France, les salarié·es des équipementiers en font déjà les frais. Dans le domaine de l’innovation, les recrutements d’Ericsson ne compensent pas les 1 233 suppressions de postes annoncés par Nokia. Quant à l’installation des nouveaux matériels 5G, la CGT du secteur nous rappelle qu’elle se fait déjà à grand renfort de travail détaché. Après avoir laissé s’échapper en 2006 puis 2015, le contrôle d’Alcatel, la France est donc incapable de conserver ces compétences précieuses pour préparer l’avenir de nos réseaux de télécommunications. Échappant à toute logique de service public et engagé dans des dépenses débridées, le secteur des télécommunications aura toujours moins d’intérêt à couvrir les zones rurales, peu rentables, où l’accès mobile à internet reste mauvais.

La nécessité d’une alternative

Malgré toutes ces alertes, seule prévaut la logique de la croissance technologique débridée, alors même que le numérique pose difficulté aux Français·es. En 2018, le CREDOC indiquait que 36 % des personnes interrogées éprouvent une inquiétude à l’idée d’accomplir la plupart de leurs démarches administratives. En 2019, le Défenseur des droits contribuait à mettre encore plus en lumière le problème en soulignant la fracture numérique induite. Il ne s’agit pas de rejeter le numérique dont le même rapport indiquait les bénéfices. Il s’agit de réinterroger démocratiquement l’avenir du numérique dans notre société et la mise en œuvre de la 5G en est une très bonne occasion. C’est pourquoi il est nécessaire d’exiger :

  • un moratoire sur le déploiement des technologies liées à la 5G sur le territoire national, tant qu’il subsiste un doute raisonnable quant à la sécurité et à la soutenabilité écologique de long terme des technologies déployées ainsi qu’à la finalité de celles-ci ;
  • un débat démocratique sur les usages de la 5G en faisant dialoguer les citoyen·nes, les chercheur·ses et les salarié·es du secteur. Ce débat doit permettre d’examiner si des usages pertinents et porteurs d’un réel progrès social existent. Nous devons saisir l’occasion de ce débat pour inventer un moyen de contrôle démocratique des choix technologiques en dehors des enjeux de rentabilités ;
  • la préservation de nos compétences industrielles françaises et européennes pour développer les bifurcations technologiques décidées collectivement ;
  • la création d’un droit à l’alternative : le numérique, ce n’est pas automatique. Aucune démarche administrative ne doit être accessible uniquement par voie dématérialisée et un accueil humain de qualité doit être conservé.

 Chers camarades,

Je ne doute pas que vous ayez reçu la  lettre  ci- dessous signée par le Premier Secrétaire de la fédération de l' Allier du PS. Cependant, Il est temps de poser les masques ( pas ceux de la  COVID) .

Au recto ,

Cette lettre d'une apparence démocratique sans équivoque  est envoyée aux militants d' Yzeure .
Si l'on en croit cette lettre ,ce parti est un modèle de transparence ,de démocratie . N'est-ce pas?

Au verso, 

La mariée est moins belle !

Le candidat Bourgeot ne remplit aucune des conditions pour avoir le droit de présenter sa candidature à cette élection . Après avoir suspendu ses cotisations  au PS ,il a repris sa carte en début d' année pour bénéficier d' une adhésion réduite afin d'avoir l'investiture du PS ? C'était nécessaire  pour figurer sur la liste municipale à Yzeure . Pourtant, il n' a pas fait bénéficier la fédération de la part statutaire  de ses reversements indemnités pendant le mandat précédent .La Fédération ,muette, n'ayant pas rejeté sa candidature est complice .

Les votants ,l'ayant soutenu à cette élection pour un grand nombre ,n'étant pas à jour de leur reversements d'indemnités n'avaient pas le droit de voter ... Quand on fait le choix d'adhérer à un partie on accepte ses règles .

La Fédération de l' Allier  doit annuler cette élection .

C'est vrai que cela n'en vaut peut être pas la peine car le candidat Bourgeot n' a obtenu que 17 voix . C'est un fond de quête dans une église abandonnée cause Covid .Il avait été le candidat le plus mal élu à la vice - présidence de la Com. d'Agglo auprès de Périssol ,on constate malheureusement que pour cette élection c'est la même chose . Un secrétaire de section à Yzeure  n'avait jamais recueilli aussi peu de voix pour une élection de ce type. Son autoglorification semble bien un peu  excessive .

Si on enlève les élus non à jour de leur reversements d'indemnités  qui n'auraient pas du voter,  il reste bien peu de monde dans cette section gonflée  par la présence de conjoints . 

Après un déroulement bien étrange de cette élection ,la  section d' Yzeure dirigée par l' ancien nouveau secrétaire, plus  à gauche que moi tu meures, sera-t-elle dans les meilleures conditions pour négocier "avec ses cocos gonflés aux heures syndicales ,tout en racontant des conneries de comptoir, qui se permettent des jugements de valeur ignobles en plein conseil :"l'humain d' abord qu'il disait" .Une formation sur l'éthique est ue piste (Bourgeot :version intégrale non expurgée) " .Ceux là -mêmes dont il parle qui se sont ralliés, pour certains, afin d'obtenir quelques places et qui ne participent à aucune décision. Quant aux écolos ,il faudra leur faire avaler quelques potions de 5G pour qu'ils le soutiennent dans une élection future où nous dit-on il aurait quelques velléités de se selfiser sur une liste .

Mais ce nouveau secrétaire de section , retraité disponible, sera mal placé faire prévaloir la sérénité des débats (voir le conseil municipal et ses affirmations en aparté) et le respect de ces collègues tant ils sont peu considérés de sa part ?

Il pourra également veiller au bon déroulement des élections internes de "son ancien parti"  s'étant auto -proclamé, à la fois candidat et gardien des listes, comme chez les" oides" .( voir article précédent ) . Parti qui devrait l'exfiltrer de ses rangs .

Guy Chambefort

 

Transparence des élections

La transparence est la pierre angulaire des élections selon l'OSCE , organisation internationale qui, entre autres, organise des missions d'observation des élections dans de nombreux pays.

Sans en donner une définition formelle, cet organisme note que le simple déplacement des urnes depuis les bureaux de vote vers un centre de dépouillement centralisé est susceptible d'affecter le principe de transparence4.

La transparence d'une élection peut être évaluée par la capacité à observer des atteintes à des principes fondamentaux comme le secret du vote, l'unicité ("un électeur, une voix") ou encore l'intégrité des suffrages (qui peut être mise à mal par un bourrage d'urnes ou la destruction de bulletins de vote avant dépouillement). Ces observations – témoignages ou recueils d'indices matériels – peuvent être produits en justice lors d'un contentieux électoral visant à faire annuler une élection litigieuse.

Wikipédia

 

ÊTES VOUS EMBALLES PAR LE BONHEUR EN PALETTES ?

Découvrant le dernier slogan imaginé par l'adjointe à l’événementiel, beaucoup Yzeuriens s'interrogent. D'où vient donc cette idée d'une pleine palette de bonheur ? Fallait-il utiliser l'argent des Yzeuriens pour cette campagne de communication qui leur est indifférente ?

Réfléchissons donc aux raisons qui ont pu conduire à un choix aussi douteux. Si c'était pour remercier les services municipaux qui ont utilisé astucieusement des palettes de récupération pour fabriquer des décors de fin d'année, le message serait simple, mais il n'est pas certain que les personnels en aient attendu autant, pour souligner le manque de moyens mis à leur disposition, comme par exemple les décorations lumineuses qui n'ont pas été renouvelées depuis dix ans.

Si c'était pour dire que le bonheur transporte actuellement les Yzeuriens comme une palette transporte des colis, ce serait bien présomptueux. Si les philosophes reconnaissent d'ailleurs que le bonheur élève et transporte l'âme, madame l'adjointe à l’événementiel semble bien n'en être encore en matière de palettes, qu'au projet d'obtenir son CAP de cariste. Certains pensent encore qu'il s'agit de palettes mises à disposition par le Président de Moulins-Communauté, qui ne sait plus quoi en faire, tant son parc logistique peine à en mobiliser l'utilisation. Il est vrai que devant les volumes potentiellement stockables et non concrétisés, on est pris de vertige. Rendez vous compte, si jamais toutes les possibilités de stockage devaient être occupées par ces fameuses palettes de bonheur, on n'aurait pas fini d’être heureux!

D'autres encore, pensent que si l'adjointe parle de palettes, c'est parce qu'elle n'a plus de matériaux disponibles. Pas étonnant, avec une crèche à un million d'euros, qu'à l'issue du chantier, il ne reste que les emballages. Emballages qu'il ne faut pas confondre avec l'emballement qui fut celui de l'adjointe à la petite enfance( c'était peut être la même) du précédent mandat, pour un projet peu stratégique et démesuré dont elle conservera «la maternité», même une fois devenue spécialiste des affiches et manitou des palettes de la communication. Certains s'accordent sur l'étonnant message rédigé à l'initiative la liste majoritaire , sur la nécessité du dépouillement de la formule. Un slogan simple rimant sans doute pour elle, avec modestie. Force est de constater qu'en proportion d'une légitimité de 20% dans les urnes, cette piste revêt une certaine probabilité. Les scores planchers ayant ceci de commun avec les palettes, d'être l'un comme l'autre, en bois.

Pour plusieurs, la modestie du message de l'adjointe à l’événementiel, comme elle se fait appeler est complètement imprégné d'un contexte spirituel. D'elle qui livre une crèche à quelques jours du 25 décembre, il se dit que si elle n'avait pas trouvé d'utilité aux palettes, elle aurait fabriqué un centre d'accueil pour nouveaux nés, et des chutes un feu de joie pour attirer quelques rois mages porteurs de subventions. Il se murmure ainsi que Gasboulet, Melquiez et Balthassol se mettent déjà en route. Toute coïncidence avec la réalité ne serait que purement fortuite .

Beaucoup pensent enfin, qu'à propos de palettes, il eût été plus poétique et culturel, de parler de celle de l'artiste peintre. Le message n'aurait pas laissé la même impression. Plus huilé, il aurait brossé un meilleur message. Mais nous avons compris qu'il ne pouvait être question de la palette du peintre, sans doute de peur qu'elle ne redonne quelques couleurs... Voila pourquoi il ne nous reste que l'emballage.

Tristes temps, tristes vœux.

Un Yzeurien qui nous montre une palette de son talent .

Palette et son démonte palette