J'ai assisté au Conseil municipal d'Yzeure du jeudi 7 novembre 2019, assis en haut des tribunes du Public. Je n'avais pas de souvenirs, lorsque j'étais Maire, de conseils aussi austères. Est-ce le fait que tous les conseillers ont le regard fixé sur leur écran qui donne cette impression ?
Quelques remarques vues d'en haut :
J'ose espérer que ce n'est pas ma présence qui a perturbé ce conseil, cette présence est pourtant tout à fait normale à l'approche de nouvelles échéances municipales.
La présentation du dossier du Parc de Sainte-Catherine n'a pas manqué de me laisser, et d'autres avec moi, dubitatif.
Tout d'abord, pourquoi la ville a fait acheter par la SEAU la totalité du terrain. Pourquoi indirectement avoir augmenté la dette de la ville sans raison ? La négociation aurait pu conduire à un achat en plusieurs tranches ou un paiement sur plusieurs années. Il apparaît que l'on a accepté une proposition du CH qui n'était pas forcément dans l'intérêt de la commune. En plus le prix d'achat 1.7000.00 € a été supérieur au prix fixé par les domaines. Et maintenant, après lecture du rapport de la Chambre Régionale des Comptes concernant le Centre Hospitalier, on constate que l'argent provenant de la vente du terrain a été utilisé pour les travaux sur les services logistiques. Tous les crédits ayant été utilisés le projet de modernisation (notamment des chambres de l'établissement) est arrêté. Une rentrée échelonnée du montant de la vente aurait été plus judicieuse pour financer par emprunt les travaux du Centre Hospitalier.
L'adjoint à l'urbanisme s'est lancé dans une présentation édulcorée du projet à partir d'une projection d'une perspective partielle du projet. Nulle explication des caractéristiques de l'éco-quartier relatée dans le compte rendu de presse fait à partir de documents et non de la présentation publique. Il est vrai que cela aurait été difficile. On a plutôt parlé de quelques trouvailles lors des premières fouilles archéologiques. J'ai entendu parler de période augusto tibérienne pour une poterie. Un peu confus cependant. Du coup je me suis reporté à la vie d'Auguste l'empereur qui a fait Rome et Tibère son successeur qui n'a pas continué dans le même esprit. Il a mis en place le Préfet Séjean qui a tenté de lui prendre sa place !!!! Un deuxième point a été abordé, de manière assez décousue : on nous a présenté un accès à une petite place expliquant une image. L'adjoint nous a dit : on rentre par un virage à gauche puis après un...virage à droite c'est bien car ça ralenti ….Pour sourire je pense que c'est la même chose en politique.
Les décisions modificatives ont été présentées dans la plus grande confusion. La présentation de la principale par l'adjointe aux finances était incompréhensible. On s'est attardé sur des budgets annexes comportant des modifications mineures. Deux remarques : il aurait été sans doute plus judicieux de financer le changement de chaudières au budget primitif pour pouvoir les changer en période hors chauffage. Mais bon avec le réchauffement climatique on peut tout comprendre même les décisions les plus étonnantes. Quant à l'aménagement du Parc de Bellecroix, il n'était pas évident, à voir leur tête, que les conseillers connaissaient le projet si il y en avait un. Il semblerait que chaque adjoint ait cherché dans cette décision un fond de poche de fin d'année pour son secteur.
Le summum a été atteint par l'adjoint aux sports qui ne supporte aucune critique en conseil comme ailleurs. Il fixe une commission à 10h 30, a-t-on déjà vu cela ? Dans une ville comme Yzeure, les conseillers ont une activité professionnelle. C'est vrai qu'on était dans la bonne semaine des vacances pour l'adjoint. Il essaie dans la plus grade confusion, tressautant sur sa chaise, d'expliquer que c'est pour satisfaire la demande des services que cette heure a été fixée ! (sic). Qui dirige ? Et en plus l'adjoint reproche des absences à une élue municipale. Cela est inadmissible. Un élu peut être absent pour des raisons personnelles il en a le droit ou parce que les commissions n'ont pas d'intérêt. Il faut savoir que les conseils municipaux doivent toujours se tenir dans la même salle et que tout changement doit être fait avec l'accord du préfet car il y avait des équipes municipales dans le passé qui changeaient de salle pour semer le public qui venait assister au conseil et qu'il a fallu y remédier. Là, il convoque des commissions à horaire variable, est-ce dans le même objectif ?
Les questions semblent très mal venues pour le Maire, ce qui est pourtant la base de la démocratie. Ainsi G. Devaux qui demandait si une somme serait inscrite au budget comme participation pour Sainte-Catherine. Le Maire, sans répondre, indiqua à G. Devaux qu'il était étonné qu'il puisse faire une telle demande. Lui qui avait voté pour ce projet n'avait pas à poser cette question. Etonnant n'est-ce pas ?
Sauf que quelques minutes après, dans une question diverse non annoncée, le Maire demandait au conseil de l'aider en signant une lettre adressée au Président pour protester contre les conséquences de la délégation de service public à Keolis et les modifications peu réfléchies apportées au réseau à la dernière rentrée scolaire. Comment le Maire peut-il poser des questions alors qu'il avait voté cette délibération ? Ce qui serait valable pour G. Devaux au Conseil Municipal d'Yzeure ne serait pas applicable au Maire à la communauté d'agglomération ?
Et puis pour revenir au réseau de bus, il était évident que les solutions proposées ne pouvaient pas convenir. Imposer un changement au Collège F. Villon entre la place d'Yzeure et le quartier des Coquinets est une erreur économique. La desserte des Lycées et du centre ville d'Yzeure est mal assurée. Il n'y a pas que "la petite mère" comme a dit le Maire qui va être gênée. On dit même que le réseau a été présenté aux Maires de la Communauté. La ville d'Yzeure pourtant très concernée par ce projet était-elle là ? Il ne suffit pas de critiquer l'absence des élus de Moulins puisque que c'est surtout Yzeure qui a été pénalisée par ces changements. Sinon, pour sourire, l'adjoint aux sports va faire remarquer ces absences vigoureusement le doigt en avant.
Une remarque pour conclure : la canicule sévit encore ! on ne nous a pas parlé du transfert de la compétence "eau" à la Communauté d'Agglomération au premier janvier 2020 avec les conséquences qui vont en découler!!!!! . Mystère .
Samedi 9 novembre 2019 Rocles - Rencontre au monument pacifiste.
Depuis la création de ces rencontres je vais régulièrement à Rocles. On peut regretter que ce rendez vous soit devenu un peu trop le monument d'un seul parti politique. J'ai eu l'occasion de faire avancer le dossier des fusillés pour l'exemple sous le quinquennat de François Hollande. En effet, même si les orateurs à Rocles mettent tous les présidents de la Cinquième République dans le même panier, F. Hollande, lui, a fait aménager aux Invalides un espace consacré aux fusillés pour l'exemple. Une proposition déjà déposée en 2014, reprise par les députés Chassaigne et Dufrègne, n'avait pas franchie la commission de la Défense. J'avais voté ce texte en commission. La décision de F. Hollande permet aux familles quand elles existent encore de savoir ce qui s'est passé et même, si elles l'estiment utile, d'entreprendre une procédure de réhabilitation.
Rocles "Apprenons à supprimer la guerre"
De tous les monuments pacifistes du Bourbonnais, celui de Rocles est sans doute le plus émouvant parce que le plus subtil. Ici, la dénonciation de la guerre et de ses horreurs passe par un buste d'enfant aux cheveux bouclés qui, du haut du monument, contemple la foule rassemblée à ses pieds, en indiquant du doigt le message gravé dans la pierre : « Apprenons à supprimer la guerre ». La formule, unique en son genre, est à la fois réaliste et pleine d'espoir : elle prend acte qu'un monde sans guerre n'est pas pour aujourd'hui, mais qu'on peut en rêver à condition de bien éduquer les générations à venir. De fait, ce monument est une grande marque de confiance dans l'école de la République.
Sa construction a été décidée très rapidement, après l'Armistice de 1918, par le Conseil municipal de la commune présidé par M. Chardonnet. II est l'oeuvre de M. Charmillon, entrepreneur au Montet, dont le projet avait été retenu en septembre 1919. D'un coût de 3.500 F, il a été financé par le produit d'une souscription organisée dans la commune (1.900 F) et une subvention municipale de 1.600 F. La commune l'a réceptionné le 15 août suivant. On peut ainsi en déduire que la première cérémonie commémorative organisée à Rocles devant son monument a eu lieu le 11 novembre 1919.
Le projet de M. Charmillon n'avait pas été du goût de la commission départementale d'architecture qui était chargée de donner son avis sur l'esthétique des monuments. La commission avait trouvé que l'inscription « 1914-1918 » gravée en-dessous du buste de l'enfant ne suffisait pas à rendre hommage à la mémoire des enfants de la commune morts pour la France. De toute évidence, la commune passa outre l'avis de la commission, estimant, avec raison, que le message pédagogique visant à « apprendre à supprimer la guerre » remplaçait avec force la traditionnelle épitaphe « Aux enfants de Rocles morts pour la France »
Les fusillés entrent aux Invalides
Le 6 novembre 2014, Kader Arif, secrétaire d’Etat aux anciens combattants et à la mémoire, inaugurait les espaces consacrés aux fusillés au Musée de l’armée.
Par Antoine FlandrinPublié le 07 novembre 2014 à 13h23 - Mis à jour le 19 août 2019 à 14h22
Temps deLecture 5 min.
Au Musée de l'armée, un totem digital situé à la fin des salles consacrées à la première guerre mondiale rappelle au visiteur les ordres de grandeur : 639 soldats français fusillés pour l'exemple contre 1 322 000 morts pour la France. A.F
Le 6 novembre 2014, Kader Arif, secrétaire d’Etat aux anciens combattants et à la mémoire, inaugurait au Musée de l’armée, à Paris, les espaces consacrés à l’histoire des soldats français fusillés pendant la première guerre mondiale. Ce nouvel aménagement répondait à un engagement pris par le président de la République, François Hollande, il y a un an, au moment du lancement des commémorations du centenaire de la Grande Guerre.
Pour Joseph Zimet, directeur de la Mission du centenaire, qui avait fait de la résolution de ce dernier « kyste mémoriel » lié à la Grande Guerre un objectif du centenaire, « les fusillés de la Grande Guerre réintègrent la mémoire nationale ». Le grand tournant avait eu lieu le 5 novembre 1998, lorsque sur le plateau de Craonne (Aisne), Lionel Jospin, alors premier ministre, avait exprimé son souhait que les soldats « fusillés pour l'exemple (…), victimes d'une discipline dont la rigueur n'avait d'égale que la dureté des combats (…), réintègrent aujourd'hui notre mémoire collective nationale ».
Selon Kader Arif, l’ouverture de ces espaces permet « d’inscrire la question des fusillés dans la mémoire militaire ». « Ce n’était pas quelque chose de simple », a-t-il reconnu. Le projet de faire entrer l’histoire des fusillés au musée des armées n’a pas rencontré de résistance au sein de la grande muette. Seul le général et historien André Bach s’y est opposé. « Pour moi, la question des fusillés est une affaire politico-militaire, affirme ce spécialiste de l’histoire des fusillés. Enfermer une question aussi complexe au Musée de l’armée, au cœur du roman national, est un choix très discutable sur le plan scientifique. »
L’aménagement des espaces consacrés à l’histoire des fusillés a été entrepris avec beaucoup de précautions. « Il n’était pas question de leur consacrer une salle, de leur ériger un monument au milieu du parcours sur la première guerre mondiale. Cela les aurait liés à un moment de la guerre de façon arbitraire », explique David Guillet, directeur adjoint du Musée de l’armée.
L’histoire des fusillés est ainsi abordée à quatre moments du parcours chronologique consacré à la Grande Guerre. « Au début de la guerre, lorsque le pouvoir exécutif comprend qu’il y a un risque que les soldats flanchent. Les autorités militaire le font savoir. Le pouvoir politique donne alors toute latitude aux militaires pour prendre les décisions qui s’imposent. Puis en 1916, lors de la bataille de Verdun. L’opinion publique prend conscience des dérives. Le pouvoir législatif vote une loi qui permet d’atténuer et de contrôler cette justice militaire. En 1917, lors de la bataille du Chemin des dames, de nombreux mutins sont condamnés à mort. Beaucoup de peines sont commuées. Enfin, après la guerre, à l’occasion de la réouverture des dossiers à l’initiative des anciens combattants qui permet la réhabilitation d’une quarantaine de fusillés dans les années 1920 et 1930 », détaille David Guillet.
Ces espaces sont dotés d’écrans tactiles et de plans de bataille interactifs, modernisant par la même occasion cette partie du musée. Celui consacré au début de la guerre est le plus important. Il comprend notamment des photos de conseil de guerre et de dégradation militaire, ainsi qu’une demande d’exécution signée par le général Pétain en 1915. Ces documents sont accompagnés par la projection du film Après les combats de Bois-le-Prêtre, réalisé en 1915, montrant la mort de masse. « Si on plaque trois images sur les fusillés dans un parcours, cela devient incantatoire, estime David Guillet. L’idée, c’était d’amener les visiteurs à comprendre le contexte de cette guerre ».
L’écran tactile propose pour sa part une typologie de dossiers de condamnation. Les notions d’abandon de poste, de hantise de l’espionnage, de mutilation volontaire, de châtiment collectif sont illustrées par des extraits de dossier de conseils de guerre. Une touche « Analyse » permet d’obtenir un éclairage historique sur un passage du document.
L’intégralité des dossiers sur le site Mémoire des hommes
L’histoire des fusillés est également présente à la fin du parcours sur la première guerre mondiale. Un totem digital rappelle au visiteur les ordres de grandeur : 639 fusillés pour l’exemple contre 1 322 000 morts du fait de la guerre. Un écran tactile s’intéresse aux regards des historiens contemporains. Les explications d’Antoine Prost, Annette Becker, Nicolas Offenstadt et Frédéric Guelton permettent de comprendre que la question des fusillés se pose en France, en des termes très différents des autres pays belligérants et que la première guerre mondiale diffère en la matière des conflits qui l’ont précédée et suivie.
Une borne digitale donne enfin la possibilité au visiteur de consulter la fiche de décès numérisée, lorsque celle-ci existe, des 1 008 soldats qui ont été exécutés pendant la première guerre : 639 pour désobéissance militaire, 140 pour des faits de droit commun, 127 pour espionnage, 47 pour motif inconnu ainsi que 55 exécutions sommaires. Sur cette base nominative, on trouve pour chaque cas quelques pièces à conviction, des minutes de jugement, des documents personnels. « Nous n’avons pas mis l’intégralité des dossiers sur cette borne. Certains d’entre eux comprennent plus de 3 000 pages. Pour des raisons de fluidité, nous avons sélectionné des extraits pertinents », explique Sandrine Aufray, chef de projet du site Mémoire des hommes.
Depuis le 6 novembre, l’intégralité des dossiers des fusillés est consultable sur Mémoire des hommes qui contient également les fiches des 1 322 000 « morts pour la France ». Cet outil voulu par le président Hollande est désormais à la disposition de tous. Il est ainsi possible de lancer des recherches sur les fusillés par nom, par date de naissance et de mort, par département de naissance et de mort, par bureau de recrutement, par unité et par grade. Seules les recherches par motifs de condamnation ne sont pas autorisées, cette donnée étant considérée comme « sensible » par la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL).
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Une borne digitale donne enfin la possibilité au visiteur de consulter la fiche de décès numérisée, lorsque celle-ci existe, des 1 008 soldats qui ont été exécutés pendant la première guerre : 639 pour désobéissance militaire, 140 pour des faits de droit commun, 127 pour espionnage, 47 pour motif inconnu ainsi que 55 exécutions sommaires. Sur cette base nominative, on trouve pour chaque cas quelques pièces à conviction, des minutes de jugement, des documents personnels. « Nous n’avons pas mis l’intégralité des dossiers sur cette borne. Certains d’entre eux comprennent plus de 3 000 pages. Pour des raisons de fluidité, nous avons sélectionné des extraits pertinents », explique Sandrine Aufray, chef de projet du site Mémoire des hommes.
Depuis le 6 novembre, l’intégralité des dossiers des fusillés est consultable sur Mémoire des hommes qui contient également les fiches des 1 322 000 « morts pour la France ». Cet outil voulu par le président Hollande est désormais à la disposition de tous. Il est ainsi possible de lancer des recherches sur les fusillés par nom, par date de naissance et de mort, par département de naissance et de mort, par bureau de recrutement, par unité et par grade. Seules les recherches par motifs de condamnation ne sont pas autorisées, cette donnée étant considérée comme « sensible » par la Commission nationale de l’informatique et des libertés
Suivons les conseils de Bernard Pivot, journalistes de La Montagne et de la Semaine de l'Allier, aiguisez votre curiosité !
Tout d'abord lisez votre confrère amateur regards03, vous découvrirez certains articles déjà anciens sur les risques financiers de cette opération. Peu de gens en parlent. Et pourtant le sujet est d'importance pour les finances de l'agglomération. Damien Jacquet en parle aussi, avec justesse, sur les réseaux sociaux. Rappelons que La Montagne, avait sur la foi d'affirmation juste avant les élections municipales, prévus 300 emplois à terme. Bosch ne représente que quelques postes.
Les élections approchant on nous sort d'un chapeau un drôle de projet : 18 000 m2 de stockage Sévéso de semences agricoles et de produits phytosanitaires. Ce n'est pas neutre. La quantité de produits stockés sera très importante juste sur la ligne de partage des eaux entre Loire et Allier. Les locaux de stockage dans ce domaine sont habituellement de 2 000 à 2 500 m2. Les produits phytosanitaires ont-ils de l'avenir.
On nous parle d'une société Actura installé à BLOIS qui créerait 40 emplois. Un peu de curiosité.
Cette société placée sous la responsabilité d'un liquidateur a entre 20 et 49 salariés. Elle veut s'installer et devenir locataire du groupe Eiffage en étant présidé par un liquidateur ? Curieux n'est ce pas ? elle veut embaucher 40 salariés nouveaux selon la presse.
Il faut s'intéresser a ce qu'on a dit aujourd'hui (5 novembre journal de 20heures de la 2) sur la sécurité des sites SEVESO en France .
Projet" Hôpital de demain"
Et si les dissertations sur les constructions devant l'hôpital n'était la que pour faire oublier le rapport de la Chambre des comptes et faire travailler Evoléa dont l'un des actionnaires est le groupe Arcade.
Rappelons ce que nous avons publié un extrait du rapport de la Chambre Régionale des Comptes:
La Chambre des Comptes signale que les pressions politiques pourraient éventuellement avoir conduit à faire ces mauvais choix, cela n'intéresse pas beaucoup la presse locale qui n'est pas très curieuse. Tout cela a pu conduire à geler le projet "Hôpital de demain".
Images sur les monuments
Il serait bien de calculer ce que tout ça a couté (Région, Département, Agglo, ville de Moulins). Il me semble avoir lu qu'il fallait rajouter uniquement pour les projections du mois de décembre 200.000 € au budget de la Com d'agglo, mais nous avons peut être mal compris. Plus de 6.000 € par soir ? Et si on faisait la somme de ce qu'on a dépensé depuis le départ ? Ce serait sans doute intéressant.