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Conseil Municipal du 8 février2024 à Yzeure

Madame l’adjointe aux affaires scolaires vous devriez tourner votre langue sept fois dans votre bouche avant de lire ce qu’on vous écrit sans réfléchir. Qu’est- ce que cette équipe municipale dont vous faites partie où on alterne le mutisme et les affirmations sans fondement ?

Vous avez critiqué mais , il fallait revoir vos classiques ce n’est pas sous les mandats de  Guy Chambefort que s’est déroulée  la construction de l’ école Jacques Prévert et le glissement avec Henri Laville devenue maison des Arts pour les scolaires que vous vous voulez faire disparaitre l’ayant déjà vidée sans réfléchir . L’argument était comme on le dit tiré par les cheveux pourtant vous n’êtes pas du 17 -ème siècle

 Oui Madame c’est un de vos prédécesseurs communistes (un vrai pas rallié) sous le premier mandat de Jean Paul Desgranges, Henri Courtadon avec le groupe communiste du conseil municipal de l’époque (1977-1989) qui avait été un des initiateurs de l’école J Prévert au Plessis après un long débat sur le choix du site

Les élus de cette époque avait construit une ZAC au Plessis avec une école !!!! Henri Courtadon s’était fortement impliqué dans cette construction. Ils l’avaient fait à la demande des parents et non pas du fait d’une pétition de 1000 signatures

Peut- on seulement penser également que l’ adjointe aux affaires scolaires qui l’avait précédée( et qui n’avait pas été  conservée à ce poste ) ait pu  reprendre ces affirmations car  sous son mandat à elle, il s’est fait bien peu de choses et son amie la rose doit lui dire chaque matin  .Les travaux ont été  bien maigres dans les écoles et sur lesquels nous ferons bientôt le point avec précision, toujours prête à  accorder des dérogations, sans doute pour faire des économies, Son mandat avait été illustré  aussi par un manque de volonté continuer à organiser les rythmes scolaires .Elle y  a mis fin stupidement sans réfléchir  alors que se disant socialiste elle aurait pu continuer à les améliorer sans détruire, dans l’esprit de Vincent Peillon

Moulins a continué

Ces deux élus font partie de celles et ceux qui, n’ont ni ne construit ni rénové un seul logement social entre 2014 et 2022 (enfin si un) et qui s’étonnent de voir baisser le nombre d’élèves dans les écoles

Ce qu’il faut retenir de ce conseil c’est que certains ont reçu des encouragements de la part du public en défendant l’école des Bataillots alors que les élus en place qui se disent majoritaires ont reçu après leur vote ce qu’on appelle une volée de bois verts bruyante qui n’avaient jamais montée, dans le passé du fond de cette salle de démocratie locale d’Yzeure

Guy Chambefort

 

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Lun 2024-02-12 21:29
 

Monsieur  Guy Chambefort                                                                 lundi 13 février 2024

Ancien député de l’Allier (2007 -2017)

Maire Honoraire d’Yzeure (1989-2014)

Conseiller Général Honoraire de l’Allier (1985 – 2007)

Officier des Palmes Académiques

Colonel de la Réserve Citoyenne

Conseiller Municipal d’Yzeure

 

                                        A Madame la Préfète de l’ Allier

 

 

 

Direction de la citoyenneté et de la légalité

 

 Je soumets à votre examen pour annulation la délibération n°12 du Conseil municipal d'Yzeure du 9 février 2024 non conforme à la législation, intitulée

FUSION DE L’ÉCOLE MATERNELLE DES BATAILLOTS AVEC LE GROUPE SCOLAIRE DES CLADETS

 

Lettre publique rendue du fait de la communication, notamment dans la presse d’éléments par le Maire d’Yzeure de la décision,( comme si elle était déjà prise) avant le Conseil Municipal

Selon les termes des articles L.212-1 du Code de l’éducation et L.2121-30 du Code général des collectivités territoriales, la commune décide légalement de la création et de l’implantation des écoles d’enseignement. De même, la modification de leur capacité d’accueil en nombre de classes, la désaffectation d’une école, le changement d’implantation d’une classe ou d’une école, dépendent de la commune.

Elle décide ainsi de la création et de l’implantation des écoles sur son territoire.

De son côté, l’Éducation Nationale se doit d’appliquer ses programmes officiels d’enseignement dans les établissements scolaires en missionnant ses enseignants et en déployant l’organisation administrative qui les soutient.

Entendu cet exposé, Vu le Code de l’Éducation, Vu le Code Général des Collectivités Territoriales,

Considérant l’implantation des écoles publiques actuelles sur le territoire de la commune d’Yzeure,

Considérant la baisse constante des effectifs scolaires sur la commune depuis plusieurs années,

 

Au vu de la fermeture, en septembre 2023, d’une classe de l’école maternelle des Bataillots, passant de 3 à 2 classes,

 

Au vu de la fermeture, en septembre 2023 d’une classe du groupe scolaire des Cladets, passant de 8 classes à 7 classes,

 

Considérant que le groupe scolaire des Cladets dispose des capacités permettant d’accueillir l’intégralité des besoins relatifs aux effectifs de l’école maternelle des Bataillots,

 

Considérant que cette fusion est proposée en lien avec la Directrice Académique des Services Départementaux de l’Éducation Nationale.

 

Considérant que le projet de fusion de l’école maternelle des Bataillots avec le groupe scolaire des Cladets a été inscrit à l’ordre du jour de la Commission de l’Enfance extraordinaire qui s’est réunie le 10 janvier 2024,

 

La Commission Enfance propose au Conseil municipal :

- D’approuver la fusion administrative de l’école maternelle des Bataillots et du groupe scolaire des Cladets en une entité unique dès la rentrée 2024, dans les locaux de ce dernier.

- De préciser que ladite école sera dénommée « Groupe scolaire des Cladets ».

 

 

 

Voici ci -dessous la procédure officielle telle qu’elle aurait dû être appliquée selon le (CGCT)

Quelles sont les modalités de création, de fusion et de suppression d'une école publique ?

Article

 

La compétence en matière de création, fusion et suppression d’une école maternelle ou élémentaire publique est partagée entre l’Etat et les communes.

 

Elle est également fixée de manière combinée par le Code Général des Collectivités Territoriales (CGCT) et par le code de l’éducation.

 

 Les modalités de fusion d’une école

Le conseil municipal peut décider de maintenir deux écoles (deux écoles maternelles ou une école maternelle et une école élémentaire par exemple) ou de fusionner ces deux écoles entres elles.

 

Ce choix n’est pas anodin.

L’existence de deux écoles suppose que chaque école ait sa propre direction et son propre conseil d’école ainsi que des postes d’enseignants affectés à chaque école.

 

L’existence d’une seule école implique la présence d’un seul poste de direction, un conseil d’école unique et des postes d’enseignants affectés à cette école avec une plus grande flexibilité pour la répartition des enfants par classe.

 

La décision de fusionner des écoles relève de la compétence du conseil municipal, après avis du préfet. Elle aura pour conséquence de supprimer un poste de directeur et une école, ce qui implique une nécessaire concertation avec le DASEN.

 

La procédure à suivre est la suivante :

 

L’avis des deux conseils d’école est requis

La délibération du conseil municipal doit être prise après avis du préfet

L’Inspecteur de l’Éducation Nationale (IEN) donne son avis sur la fusion après remise des avis du conseil d’école et de la délibération du conseil municipal

L’avis de l’IEN et la délibération du conseil municipal sont transmis au DASEN qui présente le projet au Comité Technique Spécial Départemental (CTSD) et au Conseil Départemental de l’Éducation Nationale (CDEN) pour avis

Le DASEN donne son avis sur la fusion après cette consultation.

Les modalités de suppression d’une école

Enfin, la commune peut décider de fermer une école de son territoire selon la même procédure que celle requise pour une création.

 

Cette fermeture doit être précédée par une étude d’impact au titre de l’aménagement du territoire dans la mesure où elle modifie les conditions d’exécution du service rendu aux usagers d’une administration d’Etat (CAA Nancy, 21 juin 2001 n°00NC01168).

 

 

 

 

Pour pouvoir utiliser les locaux après la suppression d’une école, le conseil municipal doit également procéder à sa désaffectation (par délibération avec avis du préfet et du DASEN) puis éventuellement à son déclassement si elle souhaite les intégrer à son domaine privé.

 

Après la discussion en Conseil Municipal il est manifeste :

(Voir la  diffusion ):

L’avis des deux conseils d’école n’a pas été requis ce qui justifie l’annulation de la fusion et la fermeture de l’école des Bataillots

La délibération du Conseil du Municipal n’a pas été prise après avis du Préfet ce qui justifie l’annulation de la fusion et la fermeture de l’école des Bataillots

Aucune trace d’avis du Préfet n’a d’ailleurs été fournie aux conseillers ce qui justifie l’annulation de la fusion et de  la fermeture de l’école des Bataillots

L’Inspecteur de l’Éducation Nationale (IEN) n’a pas donné son avis sur la fusion après remise des avis du conseil d’école qui n’existe pas  et de la délibération du Conseil Municipal  qui n’avait pas eu lieu ce qui justifie l’annulation de la fusion  et de la fermeture de l’école des Bataillots

L’avis de l’IEN et la délibération du conseil municipal sont transmis au DASEN qui présente le projet au Comité Technique Spécial Départemental (CTSD) et au Conseil Départemental de l’Éducation Nationale (CDEN) pour avis Ils n’ont pas pu être transmis matériellement ce qui justifie l’annulation de la fusion et la fermeture de l’école des Bataillots

Le DASEN donne son avis sur la fusion après cette consultation ce qui n’a pas été le cas et qui justifie l’annulation de la fusion et de la fermeture de l’école des Bataillots

La présence de deux directeurs d’écoles impose le déplacement d’un directeur en cas de fusion précédé de toutes les procédures réglementaires ce qui n’a pas été le cas donc qui justifie l’annulation de la fusion et de la fermeture de l’école des Bataillots ;

Une étude d’impact aurait dû être réalisée dans le quartier des Bataillots et la ville d’ Yzeure compte tenu du nombre important de personnes travaillant dans les services départementaux et d’ Etat dans ce quartier

En conclusion personne n’a demandé au Maire d’Yzeure de fermer cette école des Bataillots et qu’il ne l’a et qu’il ne le peut le justifier pour des raisons financières. Je suis prêt à lui démontrer.

L’étrange besoin  d’ échanger la Maison de Bellecroix site de la Petite enfance avec ce bâtiment d’école pour vendre sans doute cette maison située à proximité de la crèche est pour le moins curieux.

Envisagera-t-on les mêmes conditions de vente de la Maison des Arts en dessous, mais très largement en dessous de l’estimation des domaines ? La ville d’Yzeure n’a pas (semble -t-il ) beaucoup de soucis financiers pour faire de telles réductions (320 000€ sur 520 000€)s qui ne manqueront pas je l’espère attirer, plus complètement que sur ma lettre précédente, Madame la Préfète  votre attention

En conclusion je vous demande, Madame la Préfète de bien vouloir annuler  la fusion des écoles et la fermeture de l’ école des Bataillots .J’espère que vous prendrez en compte l’attachement de nombreux citoyens(plus de 1000 signataires de pétitions) d’ Yzeure . Consultez les réseaux sociaux ,c’est le cœur de l’étude d’ impact qui doit être réalisée

Veuillez agréer, Madame la Préfète l’assurance de ma haute considération

Guy Chambefort

 

 Délibération du Conseil municipal d'Yzeure le 9 février 2024 qui n'est pas conforme à la législation 

12 – FUSION DE L’ÉCOLE MATERNELLE DES BATAILLOTS AVEC LE GROUPE SCOLAIRE DES CLADETS

Selon les termes des articles L.212-1 du Code de l’éducation et L.2121-30 du Code général des collectivités territoriales, la commune décide légalement de la création et de l’implantation des écoles d’enseignement.

De même, la modification de leur capacité d’accueil en nombre de classes, la désaffectation d’une école, le changement d’implantation d’une classe ou d’une école, dépendent de la commune.

Elle décide ainsi de la création et de l’implantation des écoles sur son territoire.

De son côté, l’Éducation Nationale se doit d’appliquer ses programmes officiels d’enseignement dans les établissements scolaires en missionnant ses enseignants et en déployant l’organisation administrative qui les soutient.

Entendu cet exposé, Vu le Code de l’Éducation, Vu le Code Général des Collectivités Territoriales,

Considérant l’implantation des écoles publiques actuelles sur le territoire de la commune d’Yzeure,

Considérant la baisse constante des effectifs scolaires sur la commune depuis plusieurs années,

Au vu de la fermeture, en septembre 2023, d’une classe de l’école maternelle des Bataillots, passant de 3 à 2 classes,

Au vu de la fermeture, en septembre 2023 d’une classe du groupe scolaire des Cladets, passant de 8 classes à 7 classes,

Considérant que le groupe scolaire des Cladets dispose des capacités permettant d’accueillir l’intégralité des besoins relatifs aux effectifs de l’école maternelle des Bataillots,

Considérant que cette fusion est proposée en lien avec la Directrice Académique des Services Départementaux de l’Éducation Nationale.

Considérant que le projet de fusion de l’école maternelle des Bataillots avec le groupe scolaire des Cladets a été inscrit à l’ordre du jour de la Commission de l’Enfance extraordinaire qui s’est réunie le 10 janvier 2024,

La Commission Enfance propose au Conseil municipal :

- D’approuver la fusion administrative de l’école maternelle des Bataillots et du groupe scolaire des Cladets en une entité unique dès la rentrée 2024, dans les locaux de ce dernier. - De préciser que ladite école sera dénommée « Groupe scolaire des Cladets ».

 

Procédure officielle

Quelles sont les modalités de création, de fusion et de suppression d'une école publique ?

Article

La compétence en matière de création, fusion et suppression d’une école maternelle ou élémentaire publique est partagée entre l’Etat et les communes.

Elle est également fixée de manière combinée par le Code Général des Collectivités Territoriales (CGCT) et par le code de l’éducation.

 

Les modalités de fusion d’une école

Le conseil municipal peut décider de maintenir deux écoles (deux écoles maternelles ou une école maternelle et une école élémentaire par exemple) ou de fusionner ces deux écoles entres elles.

Ce choix n’est pas anodin.
L’existence de deux écoles suppose que chaque école ait sa propre direction et son propre conseil d’école ainsi que des postes d’enseignants affectés à chaque école.

L’existence d’une seule école implique la présence d’un seul poste de direction, un conseil d’école unique et des postes d’enseignants affectés à cette école avec une plus grande flexibilité pour la répartition des enfants par classe.

La décision de fusionner des écoles relève de la compétence du conseil municipal, après avis du préfet. Elle aura pour conséquence de supprimer un poste de directeur et une école, ce qui implique une nécessaire concertation avec le DASEN.

La procédure à suivre est la suivante :

  1. L’avis des deux conseils d’école est requis
  2. La délibération du conseil municipal doit être prise après avis du préfet
  3. L’Inspecteur de l’Éducation Nationale (IEN) donne son avis sur la fusion après remise des avis du conseil d’école et de la délibération du conseil municipal
  4. L’avis de l’IEN et la délibération du conseil municipal sont transmis au DASEN qui présente le projet au Comité Technique Spécial Départemental (CTSD) et au Conseil Départemental de l’Éducation Nationale (CDEN) pour avis
  5. Le DASEN donne son avis sur la fusion après cette consultation.

Les modalités de suppression d’une école

Enfin, la commune peut décider de fermer une école de son territoire selon la même procédure que celle requise pour une création.

Cette fermeture doit être précédée par une étude d’impact au titre de l’aménagement du territoire dans la mesure où elle modifie les conditions d’exécution du service rendu aux usagers d’une administration d’Etat (CAA Nancy, 21 juin 2001 n°00NC01168).

Pour pouvoir utiliser les locaux après la suppression d’une école, le conseil municipal doit également procéder à sa désaffectation (par délibération avec avis du préfet et du DASEN) puis éventuellement à son déclassement si elle souhaite les intégrer à son domaine privé.



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Paru dans :

Conseil en diagonale n°13

Date :

1er septembre 2022

Mots-clés

Conseil Municipal Séance du 8 février 2024

Ordre du Jour

1. Appel + Recueil des pouvoirs

2. Désignation du secrétaire de séance

3. Approbation du Procès-verbal de la séance du 7 décembre 2023

4. Lecture de l’ordre du jour

5. Lecture des décisions prises par le Maire en vertu de la délégation de pouvoirs conférée par le Conseil Municipal

6. Délibérations

URBANISME

1. Délibération rectificative d’une erreur matérielle dans la délibération n°2023-72 du 28 septembre 2023, elle-même rectifiée par délibération du 7 décembre 2023 portant sur la cession d’une parcelle à la Plaine Bodin dans le cadre de l’opération spécifique d’habitat 2. Rue des Cladets – Désaffectation et déclassement d’une portion du domaine public et régularisation cadastrale

ADMINISTRATION GÉNÉRALE

3. Modification des membres composant les commissions municipales

4. Etat récapitulatif des indemnités perçues par les élus en 2023

5. Modification du tableau des effectifs du personnel communal

6. Avis du Conseil Municipal sur les conditions de transfert à Moulins Communauté des terrains situés au sein des ZAE

7. Avis du Conseil Municipal sur le rapport de la CLECT – Compétence versement des contributions au SDIS

8. Adhésion à la convention de mise à disposition de matériel de la Ville d’Avermes à la Ville d’Yzeure

9. Contrats d’assurance des risques statutaires 2025 – 2028 – Modalités de lancement d’une procédure de marché public

10. Marché de performance énergétique pour l’exploitation et la maintenance des installations multi-techniques – Avenant n° 06

11. Renouvellement du contrat d’assurances « Dommages aux biens » – Choix du prestataire

ENFANCE

12. Fusion de l’école maternelle des Bataillots avec le groupe scolaire des Cladets

13. Attribution d’une subvention exceptionnelle à la coopérative scolaire du groupe scolaire des Cladets

SPORTS

14. Convention de mise à disposition d’un terrain dans la forêt des Planchards pour la pratique du paintball et du laser game extérieur

CULTURE

15. Convention annuelle entre la ville d’Yzeure et l’association de gestion du restaurant inter-administratif d’Yzeure

SOLIDARITÉ

16. Approbation du plan de financement 2024 du chantier d’insertion de la ville d’Yzeure

FINANCES 

17. Attribution anticipée de subventions reprises au budget 2024 – Délibération complémentaire

18. Examen du rapport présenté par le Maire en vue du débat d’orientations budgétaires 2024

INFORMATIONS

7. Questions orales (À transmettre au maire au moins 3 jours avant la réunion ; 5 maximum par groupe ; 1 maximum par conseiller municipal n’appartenant pas à un groupe ; temps total limité à 30 mn ; pas de débats).

8. Déclarations générales (Un porte-parole par groupe ; temps maximum de 5 mn par groupe).

9. Remerciements

10. Dates des prochains conseils municipaux

 J. Bodard ancien adjoint au finances d'Yzeure a  écrit ce texte   en 2000 .J. Bodard du temps de ses mandats( jusqu'en 2014 )n'a jamais augmenté les taux d'imposition (habitation et foncier)!

 

Au fil du temps à travers le Nord-Allier 2000:le temps des ambitions pour la ville!

 

 

L’entrée en 2000 a été l’occasion de relooker le logo d’Yzeure ! Illustrant le dynamisme de la ville le nouveau logo reprend l’image de l’arbre et transcrit l’importance accordée à la nature et à l’environnement. Sous l’arc de cercle bleu se détache le slogan qui la caractérise depuis dix ans : « Yzeure, ville à vivre »

 Yzeure Mag. Avril 2000 texte écrit en février2000 

 Hier l’an 2000 était pour demain.

 Aujourd’hui, il est bon de se le rappeler et de revisiter le passé à travers les quatre numéros d’Yzeure Mag qui relatent à la fois 25 années d’actions municipales et évoquent les projets futurs.

 Yzeure en 2000 était devenue un véritable espace de vie grâce à une politique environnementale liée à une urbanisation harmonieuse suite à une forte acquisition foncière (357 hectares de terrains en 20 ans). Le dossier de janvier 2000 retrace l’évolution de la ville initiée par les équipes municipales successives et les associations. Jean Paul Desgranges maire de 1977 à 1989 décline à travers les colonnes de ce numéro qui lui sont ouvertes les réalisations importantes. En complément des acquisitions foncières telles la zone de millepertuis, le parc Laussedat, le volet économique (implantations de la MACIF, du centre de distribution Leclerc et création de la zone artisanale du parc de la Mothe) s’est fortement développé. Le foyer des Bataillots, la gendarmerie, la Gloriette ouverte en 1991, Yzeurespace, la salle de sports de Bellevue ont au fil des ans complété les équipements de la ville jusqu’à ce jour. En se souvenant des belles choses tout en n’oubliant pas les échecs, l’homme politique responsable qu’il est, souligne son regret de n’avoir pu malgré trois ans de lutte, s’opposer à la fermeture de l’usine Thomson. Enfin son regard sur l’avenir est particulièrement positif car il apprécie l’effort social qui se poursuit ainsi que les réalisations audacieuses comme le plan d’eau des Ozières et se dit particulièrement sensible à la politique relationnelle ouverte et au souci d’une gestion démocratique de la ville.

Pour les équipes municipales d’union de la gauche, revisiter le passé c’est aussi « continuer et construire l’avenir ». Le budget 2000 traduit cette volonté de poursuivre un programme d’investissement important de l’ordre de 10 millions de francs dédiés notamment à l’ouverture d’un nouvel espace accueillant le service tourisme, la direction des sports et le PIJ face à la Mairie ainsi qu’à la nouvelle salle de démocratie locale.

S’il y a un autre pilier essentiel de la vitalité de la ville, c’est bien la vie associative génératrice d’un véritable lien social. Cette année J. Duffault succède à J.M. Piroche comme président du comité de jumelage Yzeure Kafountine, ce sont le 15ème anniversaire du comité de jumelage Yzeure Bendorf et le 20ème anniversaire du Carrefour chanson enfants alors que l’Amicale laïque des Bataillots se prépare à fêter ses 50 ans d’existence en mars 2001. Une grande part est faite dans la mise en valeur de tous ces bénévoles à travers le portrait consacré à Guy Bruhat figure de la vie associative yzeurienne toujours à la recherche d’un « échange permanent » à travers ses passions que sont la photo qu’il vit au CYSL et le chant à la chorale Croq’notes. Il convient donc de pérenniser cette dynamique par la poursuite et le renforcement d’aides tant au niveau des subventions que des mises à disposition gratuites des salles et du matériel par des inscriptions budgétaires répondant aux besoins des associations.

Autre moment fort de l’année, la parution de « Yzeure 2000 ans d’histoire » ouvrage édité par « le cercle des amis d’Yzeure » qui retrace les mutations de la ville.

 Pour cette traversée de « 365 et un jour vers le 3ème millénaire », la ville propose de multiples manifestations et réalisations (présence de la ville à la foire de Moulins, aménagement d’un nouveau boulodrome sur l’aire de millepertuis, ouverture du chemin de l’an 2000 avec la plantation de 40 noisetiers de Byzance et 21 chênes par les enfants membres du Conseil Municipal Jeunes lors du 10ème anniversaire du CMJ.)

 

Culturellement, socialement, sportivement la ville bouge confirmant ainsi ce qu’écrit J.P Desgranges : « l’histoire n’est pas en repos. Plus que jamais à Yzeure, en tous cas, elle est en mouvement »

 

J.Bodard